Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il f… Mon flanc percé, mon cœur qui rayo… Et mes pieds offensés que Madelei… De larmes, et mes bras douloureux… De tes péchés, et mes mains ! Et…
La nuit. La pluie. Un ciel blafar… De flèches et de tours à jour la s… D’une ville gothique éteinte au lo… La plaine. Un gibet plein de pend… Secoués par le bec avide des corne…
Don Juan qui fut grand Seigneur e… Est aux enfers ainsi qu’un pauvre… Pauvre, sans la barbe faite, et po… Et si n’étaient la lueur de ses ye… Et la beauté de sa maigre figure,
Le soldat qui sait bien et veut bi… Sera l’homme qu’il faut au Devoir… Le Devoir, qu’il combatte ou qu’i… Qu’il s’essore à la mort ou batte… Le Devoir, qu’il subisse (et l’ai…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Je suis plus pauvre que jamais Et que personne ; Mais j’ai ton cou gras, tes bras f… Ta façon bonne De faire l’amour, et le tour
Ce n’est pas Pierrot en herbe Non plus que Pierrot en gerbe, C’est Pierrot, Pierrot, Pierrot. Pierrot gamin, Pierrot gosse, Le cerneau hors de la cosse,
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Car mon cœur, jamais fatigué D’être ou du moins de le paraître, Quoi qu’il en soit, s’efforce d’êt… Ou de paraître fol et gai. Mais, mieux que de chercher fortun…
Tes yeux, tes cheveux indécis, L’arc mal précis de tes sourcils, La fleur pâlotte de ta bouche, Ton corps vague et pourtant dodu, Te donnent un air peu farouche
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Sagesse d’un Louis Racine, je t’e… Ô n’avoir pas suivi les leçons de… N’être pas né dans le grand siècle… Quand le soleil couchant, si beau,… Quand Maintenon jetait sur la Fra…
C’est l’extase langoureuse, C’est la fatigue amoureuse, C’est tous les frissons des bois Parmi l’étreinte des brises, C’est, vers les ramures grises,