Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
Brune encore non eue, Je te veux presque nue Sur un canapé noir Dans un jaune boudoir, Comme en mil huit cent trente.
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
Elle jouait avec sa chatte, Et c’était merveille de voir La main blanche et la blanche patt… S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait – la scélérate ! –
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Les petits ifs du cimetière Frémissent au vent hiémal, Dans la glaciale lumière. Avec des bruits sourds qui font ma… Les croix de bois des tombes neuve…
Le long bois de sapins se tord jus… L’étroit bois de sapins, de laurie… Avec la ville autour déguisée en v… Chalets éparpillés rouges dans le… Et les blanches villas des station…
Après la chose faite, après le cou… Après le joug très dur librement a… Et le fardeau plus lourd que le ci… Levé d’un dos vraiment et gaîment… Après la bonne haine et la chère r…
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins
Le ciel si pâle et les arbres si g… Semblent sourire à nos costumes cl… Qui vont flottant légers avec des… De nonchalance et des mouvements d… Et le vent doux ride l’humble bass…
Car tu vis en toutes les femmes Et toutes les femmes c’est toi. Et tout l’amour qui soit, c’est mo… Brûlant pour toi de mille flammes. Ton sourire tendre ou moqueur,
Vous reviendrez bientôt, les bras… Selon votre coutume, Ô Pères excellents qu’aujourd’hui… Pour comble d’amertume. Vous reviendrez, vieillards exquis…
En robe grise et verte avec des ru… Un jour de juin que j’étais soucie… Elle apparut souriante à mes yeux Qui l’admiraient sans redouter d’e… Elle alla, vint, revint, s’assit,…