Jadis et naguère (1884)
#ÉcrivainsFrançais
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
J’ai dit à l’esprit vain, à l’oste… L’Ilion de l’orgueil futile, le S… De la frivolité sans cœur et sans… La citadelle enfin du Faux : « Croulez, murailles
Ce fut bizarre et Satan dut rire. Ce jour d’été m’avait tout soûlé. Quelle chanteuse impossible à dire Et tout ce qu’elle a débagoulé ! Ce piano dans trop de fumée
La sainte, ta patronne, est surtou… Dans nos pays du Nord et toute la… Dont je suis à demi, la Lorraine… Elle fut courageuse et douce et mo… Et martyre. Or il faut lui brûler…
L’espoir luit comme un brin de pai… Que crains-tu de la guêpe ivre de… Vois, le soleil toujours poudroie… Que ne t’endormais-tu, le coude su… Pauvre âme pâle, au moins cette ea…
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
Ami, le temps n’est plus des guita… Des créanciers, des duels hilares… De rien, des cabarets, des pipes a… Et de cette gaîté banale où nous n… Voici venir, ami très tendre qui t…
Au pays de mon père on voit des bo… Là des loups font parfois luire le… Et la myrtile est noire au pied du… Noire de profondeur, sur l’étang d… Sous la bise soufflant balsamiquem…
Vers Saint-Denis c’est bête et sa… C’est pourtant là qu’un jour j’emm… Nous étions de mauvaise humeur et… Un plat soleil d’été tartinait ses… Sur la plaine séchée ainsi qu’une…
Ayez pitié ae nous, Seigneur ! Christ, ayez pitié de nous ! Donnez-nous la victoire et l’honne… Sur l’ennemi de nous tous. Ayez pitié de nous, Seigneur.
Roule, roule ton flot indolent, mo… Sur tes ponts qu’environne une vap… Bien des corps ont passé, morts, h… Dont les âmes avaient pour meurtri… Mais tu n’en traînes pas, en tes o…
Car tu vis en toutes les femmes Et toutes les femmes c’est toi. Et tout l’amour qui soit, c’est mo… Brûlant pour toi de mille flammes. Ton sourire tendre ou moqueur,
Lorsque tu cherches tes puces, C’est très rigolo. Que de ruses, que d’astuces ! J’aime ce tableau. C’est, alliciant en diable
Or, malgré ta cruauté Affectée, et l’air très faux De sale méchanceté Dont, bête, tu te prévaux J’aime ta lasciveté !