Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
À Stéphane Mallarmé Il parle italien avec un accent ru… Il dit : « Chère, il serait préci… Riche, et seul, tout demain et tou… Mais riche à paver d’or monnayé le…
Les choses qui chantent dans la tê… Alors que la mémoire est absente, Écoutez ! c’est notre sang qui cha… Ô musique lointaine et discrète ! Écoutez ! c’est notre sang qui ple…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
L’immensité de l’humanité, Le Temps passé vivace et bon père… Une entreprise à jamais prospère : Quelle puissante et calme cité ! Il semble ici qu’on vit dans l’his…
« Angels », seul coin luisant dans… Où flambe un peu de gaz et jase qu… C’est drôle que, semblable à tel t… Ton souvenir m’obsède et puissamme… Autour de mon esprit un regret rou…
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vag… Tandis qu’un très léger bruit d’ai… Un air bien vieux, bien faible et… Rôde discret, épeuré quasiment,
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Je veux, pour te tuer, ô temps qui… Remonter jusqu’aux jours bleuis de… Et bercer ma luxure et ma honte au… De baisers sur Sa main et non plu… Le Tibère effrayant que je suis à…
Don Juan qui fut grand Seigneur e… Est aux enfers ainsi qu’un pauvre… Pauvre, sans la barbe faite, et po… Et si n’étaient la lueur de ses ye… Et la beauté de sa maigre figure,
Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pi… Sur cet arbre, été comme hiver,
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Une chanson folle et légère Comme le drapeau tricolore Court furieusement dans l’air, Fifrant une France âpre encor. Sa gaîté qui rit d’elle-même
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
Que ton âme soit blanche ou noire, Que fait ? Ta peau de jeune ivoir… Est rose et blanche et jaune un pe… Elle sent bon, ta chair, perverse Ou non, que fait ? puisqu’elle ber…
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.