"La bonne chanson (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
Chemise de femme, armure ad hoc Pour les chers combats et le gai c… Avec, si frais et que blancs et gr… Sortant tout nus, joyeux, les deux… Vêtement suprême,
Donne ta main, retiens ton souffle… Sous cet arbre géant où vient mour… En soupirs inégaux sous la ramure… Que caresse le clair de lune blême… Immobiles, baissons nos yeux vers…
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
Le pauvre du chemin creux chante e… Il dit : « Mon nom est Pierre et… Et je m’appelle aussi Duchatelet. Une fois je vis, moi qu’on croit t… Passer vraiment une femme très bel…
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
La neige à travers la brume Tombe et tapisse sans bruit Le chemin creux qui conduit A l’église où l’on allume Pour la messe de minuit.
(À Villiers de l’Isle-Adam) Dans un palais, soie et or, dans… De beaux démons, des satans adoles… Au son d’une musique mahométane, Font litière aux Sept Péchés de l…
Puisque l’aube grandit, puisque vo… Puisque, après m’avoir fui longtem… Revoler devers moi qui l’appelle e… Puisque tout ce bonheur veut bien… C’en est fait à présent des funest…
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Je vous prends à témoin entre tous… Vous qui m’avez connu dès l’extrêm… Que je fus digne d’elle, à Dieu s… Sans criard désespoir ni jactance… Simple dans mon mépris pour des re…
QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Quand même tu dirais Que tu me trahirais Si c’était ton caprice, Qu’est-ce que me ferait Ce terrible secret
Les hauts talons luttaient avec le… En sorte que, selon le terrain et… Parfois luisaient des bas de jambe… Interceptés !– et nous aimions ce… Parfois aussi le dard d’un insecte…
Ah oui, la question d’argent ! Celle de te voir pleine d’aise Dans une robe qui te plaise, Sans trop de ruse ou d’entregent : Celle d’adorer ton caprice