"La bonne chanson (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
Les variations normales De l’esprit autant que du cœur, En somme, témoignent peu mal En dépit de tel qui s’épeure, Parlent par contre, contre tel
Ce n’est pas de ces dieux foudroyé… Ce n’est pas encore une infortune Poétique autant qu’inopportune, Lecteur de bon sens, ne fuyez ! On sait trop tout le prix du malhe…
Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs rega… Par le chemin des aventures Ils vont haillonneux et hagards. Le sage, indigné, les harangue ;
Le chagrin qui me tue est ironique… Le sarcasme au supplice, et ne tor… Franchement, mais picote avec un f… Et transforme en spectacle amusant… Et, sur la bière où gît mon rêve m…
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Las ! je suis à l’Index et dans l… Me voici Paul V... pur et simple.… De mes amis, tant les éditeurs son… Doivent éliminer mon nom de leurs… Extraordinaire et saponaire tonner…
Il eut des temps quelques argents Et régla ses camarades D’un sexe ou deux, intelligents Ou charmants, ou bien les deux gra… Si que dans les esprits malades
« Tu m’ostines ! »—« Et je t’emmè… A la campagne. » Ainsi parlaient Deux amoureux dont s’éperlaient Plus d’un encor propos amène. Je crains fort que ces amoureux
Simplement, comme on verse un parf… Et comme un soldat répand son sang… Je voudrais pouvoir mettre mon cœu… Dans un beau cantique à la sainte… Mais je suis, hélas ! un pauvre pé…
L’une avait quinze ans, l’autre en… Toutes deux dormaient dans la même… C’était par un soir très lourd de… Frêles, des yeux bleus, des rougeu… Chacune a quitté, pour se mettre à…
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
Le Point du Jour, le point blanc… Le seul point blanc, grâce à tant… Et neuve et laide et que je t’en r… Le Point du Jour aurore des paris… Le bonneteau fleurit « dessur » la…
Parfois je sens, mourant des temps… Mon immense douleur s’enivrer d’es… En vain l’heure honteuse ouvre des… En vain bâillent sous nous les dés… Pour engloutir l’abus de notre âpr…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,