"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
« Dans les Avents », comme l’on d… Chez mes pays qui sont rustiques Et qui patoisent un petit Entre autres usages antiques, « Dans les Avents les côs chanton…
Sur mon front, mille fois solitair… Puisque je dois dormir loin de toi… La lune déjà maligne en soi, Ce soir jette un regard délétère. Il dit ce regard—pût-il se taire !
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
Chair! ô seul fruit mordu des verg… Fruit amer et sucré qui jutes aux… Des affamés du seul amour, bouches… Et bon dessert des forts, et leurs… Amour! le seul émoi de ceux que n’…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Les longs rideaux de blanche mouss… Que la lueur pâle de la veilleuse Fait fluer comme une vague opaline Dans l’ombre mollement mystérieuse… Les grands rideaux du grand lit d’…
Un pavillon à claires-voies Abrite doucement nos joies Qu’éventent des rosiers amis ; L’odeur des roses, faible, grâce Au vent léger d’été qui passe,
Je suis plus pauvre que jamais Et que personne ; Mais j’ai ton cou gras, tes bras f… Ta façon bonne De faire l’amour, et le tour
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Il fait nuit dans la chambre étroi… Vient de rentrer, couvert de neige… Depuis trois jours il n’a pas pron… La femme a peur et fait des signes… Un seul lit, un bahut disloqué, qu…
Allons, mon pauvre cœur, allons, m… Redresse et peins à neuf tous tes… Brûle un encens ranci sur tes aute… Sème de fleurs les bords béants du… Allons, mon pauvre cœur, allons, m…
Je… Mo… D’une aile inquiète et folle vole… To… D’…
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…
La Gueule parle : « L’or, et puis… Toujours l’or, et la viande, et le… Et l’or pour les vins fins et la v… Un trou sans fond pour l’or toujou… La Panse dit : « À moi la chute d…