"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Mon ami, vous m’avez, quoiqu’encor… Vu déjà bien divers, mais ondoyant… Direct et bref, oui : tels les Ju… Ou comme un affamé de la veille dé… Homme de primesault et d’excès, je…
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
Saint est l’homme au sortir du bap… Petit enfant humble et ne tétant p… Et si pur alors qu’il est la puret… Saint est l’homme après l’Euchari… La chair de Jésus a sa chair inve…
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Sa tête fine dans sa main toute pe… Elle écoute le chant des cascades… Et, dans la plainte langoureuse de… Perçoit comme un écho béni du nom… Elle a fermé ses yeux divins de cl…
L’agneau cherche l’amère bruyère, C’est le sel et non le sucre qu’il… Son pas fait le bruit d’une averse… Quand il veut un but, rien ne l’ar… Brusque, il fonce avec de grands c…
Ces vrais vivants qui sont les sai… Et les vrais morts qui seront nous… C’est notre double fête à tous, Comme la fleur de nos desseins, Comme le drapeau symbolique
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Calmes dans le demi-jour Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour De ce silence profond. Fondons nos âmes, nos coeurs
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Ah ! soyez ce que pense une foule… Ou ce que le penseur lui-même dit… Bassement orgueilleux, haineusemen… Avares, impurs, durs, la vérité vo… Et, de fait, nul de vous ne risque…
Mon ami, ma plus belle amitié, ma… —Les morts sont morts, douce leur… Laisse-moi te le dire en toute vér… Tu vins au temps marqué, tu parus… Tu parus sur ma vie et tu vins dan…
Éloigné de vos yeux, Madame, par d… Impérieux (j’en prends tous les di… Je languis et je meurs, comme c’es… En pareil cas, et vais, le cœur pl… À travers des soucis où votre ombr…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,