"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
La nuit. La pluie. Un ciel blafar… De flèches et de tours à jour la s… D’une ville gothique éteinte au lo… La plaine. Un gibet plein de pend… Secoués par le bec avide des corne…
Je suis plus pauvre que jamais Et que personne ; Mais j’ai ton cou gras, tes bras f… Ta façon bonne De faire l’amour, et le tour
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Ces passions qu’eux seuls nomment… Sont des amours aussi, tendres et… Avec des particularités curieuses Que n’ont pas les amours certes de… Même plus qu’elles et mieux qu’ell…
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
J’ai naguère habité le meilleur de… Dans le plus fin pays d’eau vive e… Quatre tours s’élevaient sur le fr… Et j’ai longtemps, longtemps habit… Le mur, étant de brique extérieure…
Prince mort en soldat à cause de l… Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plei… Je t’aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pau…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…
J’ai rêvé de toi cette nuit : Tu te pâmais en mille poses Et roucoulais des tas de choses... Et moi, comme on savoure un fruit, Je te baisais à bouche pleine
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Brune encore non eue, Je te veux presque nue Sur un canapé noir Dans un jaune boudoir, Comme en mil huit cent trente.