"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Un serpent, s’élançant du tronc cr… Darde son noir venin sur l’aigle a… Le noble oiseau s’abaisse et sa se… A bientôt châtié le reptile odieux… La bête, qui tordait ses anneaux a…
Les variations normales De l’esprit autant que du cœur, En somme, témoignent peu mal En dépit de tel qui s’épeure, Parlent par contre, contre tel
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Ayant poussé la porte étroite qui… Je me suis promené dans le petit j… Qu’éclairait doucement le soleil d… Pailletant chaque fleur d’une humi… Rien n’a changé. J’ai tout revu :…
Nous sommes en des temps infâmes Où le mariage des âmes Doit sceller l’union des cœurs ; À cette heure d’affreux orages, Ce n’est pas trop de deux courages
Un pavillon à claires-voies Abrite doucement nos joies Qu’éventent des rosiers amis ; L’odeur des roses, faible, grâce Au vent léger d’été qui passe,
Je veux, pour te tuer, ô temps qui… Remonter jusqu’aux jours bleuis de… Et bercer ma luxure et ma honte au… De baisers sur Sa main et non plu… Le Tibère effrayant que je suis à…
Ô Seigneur, exaucez et dictez ma p… Vous la pleine Sagesse et la tout… Vous sans cesse anxieux de mon heu… Et qui m’avez aimé de toute éterni… Car—ce bonheur terrible est tel, t…
La « grande ville ». Un tas criar… Où rage le soleil comme en pays co… Tous les vices ont leur tanière, l… Et les hideux, dans ce désert de p… Des odeurs ! Des bruits vains ! O…
Fauve avec des tons d’écarlate, Une aurore de fin d’été Tempétueusement éclate A l’horizon ensanglanté. La nuit rêveuse, bleue et bonne
Vers les prés le vent cherche nois… Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d’ardoise, Vers les prés clairs, les prés san…
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
Or ce vieillard était horrible : u… Crevé, saignait, tandis que l’autr… Brutalement luisait sous son sourc… Les cheveux se dressaient d’une fa… Blancs, et paraissaient moins des…
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins