"Chair (1896)"
#ÉcrivainsFrançais
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Le bruit de ton aiguille et celui… Sont le silence d’or dont on parla… Ah ! cessons de nous plaindre, ins… Et travaillons tranquillement au n… Quant à souffrir, quant à mourir,…
Telle qu’un moissonneur, dont l’av… Abat le frais bleuet, comme le dur… Telle qu’un plomb cruel qui, dans… Siffle, et, fendant les airs, vous… Telle l’affreuse mort sur un drago…
Rompons ! Ce que j’ai dit, je ne… Puisque je le pensai, c’est donc q… Je le garderai jusqu’au jour où je… Total, intégral, pur, en dépit des… De la rancœur très haute et de l’o…
Couché dans l’herbe pâle et froide… Sous les ifs et les pins qu’argent… Ou bien errant, semblable aux form… Le rêve, par l’horreur du paysage… Tandis qu’autour, pasteurs de trou…
Un singe en veste de brocart Trotte et gambade devant elle Qui froisse un mouchoir de dentell… Dans sa main gantée avec art, Tandis qu’un négrillon tout rouge
De plus, cette ignorance de Vous… Avoir des yeux et ne pas vous voir… Une âme et ne pas vous concevoir. Un esprit sans nouvelles de Vous… O temps, ô mœurs qu’il en soit ain…
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
(A Germain Nouveau) Dans une rue, au coeur d’une ville… Ce sera comme quand on a déjà vécu… Un instant à la fois très vague et… Ô ce soleil parmi la brume qui se…
Contrition parfaite, Les anges sont en fêtes Mieux d’un pêcheur contrit que d’u… Bon propos, la victoire Préparée et la gloire
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
Il faut, voyez-vous, nous pardonne… De cette façon nous serons bien he… Et si notre vie a des instants mor… Du moins nous serons, n’est-ce pas… Ô que nous mêlions, âmes soeurs qu…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…