"Parallèlement (1889)"
#ÉcrivainsFrançais
Petit Jésus qui souffrez déjà dan… Pour obéir au premier précepte de… Or, nous venons en ce jour saintem… Vous offrir les prémices aussi de… Pour obéir, nous autres, à votre o…
Vrai, nous avons trop d’esprit. Chérie ! Je crois que mal nous en prit, Chérie ! D’ainsi lutter corps à corps
L’incroyable, l’unique horreur de… Quand l’offense et le tort ont eu… Est un royal effort qui peut faire… Pour le souci de plaire et le soin… L’orgueil, qu’il faut, se doit pré…
Le Souvenir avec le Crépuscule Rougeoie et tremble à l’ardent hor… De l’Espérance en flamme qui recu… Et s’agrandit ainsi qu’une cloison Mystérieuse où mainte floraison
Après la chose faite, après le cou… Après le joug très dur librement a… Et le fardeau plus lourd que le ci… Levé d’un dos vraiment et gaîment… Après la bonne haine et la chère r…
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
C’est à cause du clair de la lune Que j’assume ce masque nocturne Et de Saturne penchant son urne Et de ces lunes l’une après l’une. Des romances sans paroles ont,
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Un projet de mon âge mûr Me tint six ans l’âme ravie, C’était, d’après un plan bien sûr. De réédifier ma vie. Vie encor vivante après tout.
L’art ne veut point de pleurs et n… Voilà ma poétique en deux mots : e… De beaucoup de mépris pour l’homme… Contre l’amour criard et contre l’… Je sais qu’il faut souffrir pour m…
Avant que tu ne t’en ailles, Pâle étoile du matin, —Mille cailles Chantent, chantent dans le thym. Tourne devers le poète,
Elle jouait avec sa chatte, Et c’était merveille de voir La main blanche et la blanche patt… S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait – la scélérate ! –
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Las ! je suis à l’Index et dans l… Me voici Paul V... pur et simple.… De mes amis, tant les éditeurs son… Doivent éliminer mon nom de leurs… Extraordinaire et saponaire tonner…