"Parallèlement (1889)"
#ÉcrivainsFrançais
Je ne suis plus de ces esprits phi… Et ce n’est pas de morale que tu t… Deux admirables conditions pour l’… Tel que nous l’entendrons, c’est-à… Aucun de bête convenance ou de lim…
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,
Le couchant dardait ses rayons sup… Et le vent berçait les nénuphars b… Les grands nénuphars entre les ros… Tristement luisaient sur les calme… Moi j’errais tout seul, promenant…
Notre-Dame de Santa Fé de Bogota… Qui vous apprêtez à faire le tour… Or, mon émotion serait trop profon… Dans le chagrin réel dont mon cœur… À la nouvelle de ce départ déplora…
Lorsque tu cherches tes puces, C’est très rigolo. Que de ruses, que d’astuces ! J’aime ce tableau. C’est, alliciant en diable
Sagesse d’un Louis Racine, je t’e… Ô n’avoir pas suivi les leçons de… N’être pas né dans le grand siècle… Quand le soleil couchant, si beau,… Quand Maintenon jetait sur la Fra…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes,
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur
J’ai fait ces vers qu’un bien indi… bien indigne, après tant de grâces… Lâchement, salement, froidement pi… Par mes pieds de pécheur, de vil e… J’ai fait ces vers, Seigneur, à v…
J’ai vu passer dans mon rêve —Tel l’ouragan sur la grève,— D’une main tenant un glaive Et de l’autre un sablier, Ce cavalier
Jésus au ciel est monté Pour vous envoyer sa grâce Espérance et charité, Foi qui jamais ne se lasse, Patience et tous les dons