Paysages belges
#ÉcrivainsFrançais
Sur fond sombre noyant un riche ve… Où le buste d’Horace et celui de… Lointain et de profil rêvent en ma… La main gauche au poignard et la m… Tandis qu’un rire doux redresse la…
Nous sommes les Ingénues Aux bandeaux plats, à l’œil bleu, Qui vivons, presque inconnues, Dans les romans qu’on lit peu. Nous allons entrelacées,
Cruel Hérode, noir Péché, De tes sept glaives tu poursuis Les innocents, lesquels je suis Dans mes cinq sens,—et, qu’empêché Me voici pour, las ! me défendre !
Murs blancs, toit rouge, c’est l’… Du grand chemin poudreux où le pie… L’Auberge gaie avec le Bonheur po… Vin bleu, pain tendre, et pas beso… Ici l’on fume, ici l’on chante, ic…
Désormais le Sage, puni Pour avoir trop aimé les choses, Rendu prudent à l’infini, Mais franc de scrupules moroses, Et d’ailleurs retournant au Dieu
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau
Le soldat qui sait bien et veut bi… Sera l’homme qu’il faut au Devoir… Le Devoir, qu’il combatte ou qu’i… Qu’il s’essore à la mort ou batte… Le Devoir, qu’il subisse (et l’ai…
Ces vrais vivants qui sont les sai… Et les vrais morts qui seront nous… C’est notre double fête à tous, Comme la fleur de nos desseins, Comme le drapeau symbolique
Vers Saint-Denis c’est bête et sa… C’est pourtant là qu’un jour j’emm… Nous étions de mauvaise humeur et… Un plat soleil d’été tartinait ses… Sur la plaine séchée ainsi qu’une…
« Tu m’ostines ! »—« Et je t’emmè… A la campagne. » Ainsi parlaient Deux amoureux dont s’éperlaient Plus d’un encor propos amène. Je crains fort que ces amoureux
La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…
Je suis dur comme un juif et têtu… Littéral, ne faisant le bien qu’av… Quand je le fais, et prêt à tout l… Mon esprit s’ouvre et s’offre, on… Je ne puis plus compter les chutes…
Je vois un groupe sur la mer. Quelle mer ? Celle de mes larmes. Mes yeux mouillés du vent amer Dans cette nuit d’ombre et d’alarm… Sont deux étoiles sur la mer.
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur
C’est le chien de Jean de Nivelle Qui mord sous l’œil même du guet Le chat de la mère Michel ; François-les-bas-bleus s’en égaie. La Lune à l’écrivain public