Si autrefois sous l’ombre de Gast… Avons joué quelque chanson latine, De Cassandre enamouré, Sus, maintenant, luth doré, Sus ; l’honneur mien, dont la voix…

Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifi… Tout enrichy de marbre et de porph… Qu’Amour bastit chasteau de son e… Où tout le Ciel a mis son artific… Est un rempart, un fort contre le…

Marie, à tous les coups vous me ve… Que je suis trop léger, et me dite… Quand je vous veux baiser, que j’a… Et toujours m’appelez inconstant e… Je le veux être aussi, les hommes…

Je voudrais bien richement jauniss… En pluie d’or goutte à goutte desc… Dans le beau sein de ma belle Cas… Lors qu’en ses yeux le somme va gl… Je voudrais bien en taureau blanch…

J’espère et crains, je me tais et… Or je suis glace, et ores un feu c… J’admire tout, et de rien ne me ch… Je me délace, et puis je me relie. Rien ne me plaît sinon ce qui m’en…

Donne-moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou,… Dans le ruisseau d’oubly, dessus m… Endors mes pauvres yeux, mes goutt… Misericorde, ô Dieu ! ô Dieu, ne…

Je veux mourir pour tes beautés,… Pour ce bel oeil, qui me prit à so… Pour ce doux ris, pour ce baiser t… D’ambre et de musc, baiser d’une… Je veux mourir pour cette blonde t…

Si seulement l’image de la chose Fait à noz yeux la chose concevoir… Et si mon oeil n’a puissance de vo… Si quelqu’idole au devant ne s’opp… Que ne m’a fait celuy qui tout com…

Fais rafraîchir mon vin, de sorte Qu’il passe en froideur un glaçon… Fais venir Jeanne, qu’elle apport… Son Luth pour dire une chanson ; Nous ballerons tous trois au son ;

Jamais Hector aux guerres n’était… Lorsqu’il allait combattre les Gr… Toujours sa femme attachait son ha… Et sur l’armet (1) lui plantait so… Il ne craignait la Péléenne (2) h…

Mon âge et mon sang ne sont plus e… Les ardents pensers ne m’eschauffe… Plus mon chef grison ne se veut en… Sous le joug d’aimer. En mon jeune avril, d’Amour je fu…

Amour tu sembles au phalange qui p… Lui de sa queue, et toi de ta quad… De tous deux est la pointure morte… Qui rampe au coeur, et si n’aparoi… Sans souffrir mal tu me conduis au…

Ha ! que je porte et de haine et d… Au médecin qui vient soir et matin Sans nul propos tâtonner le tétin, Le sein, le ventre et les flancs d… Las ! il n’est pas si soigneux de…

Soit que son or se crêpe lentement Ou soit qu’il vague en deux glissa… Qui çà, qui là par le sein vagabon… Et sur le col, nagent folâtrement… Ou soit qu’un noeud illustré riche…

Ma guiterre, je te chante, Par qui seule je deçoy, Je deçoy, je romps, j’enchante Les amours que je reçoy. Nulle chose, tant soit douce,