Si je trépasse entre tes bras, Ma… Il me suffit, car je ne veux avoir Plus grand honneur, sinon que de m… En te baisant, dans ton sein rendr… Celui que Mars horriblement enfla…

L’an se rajeunissait en sa verte j… Quand je m’épris de vous, ma Sino… Seize ans étaient la fleur de votr… Et votre teint sentait encore son… Vous aviez d’une infante encor la…

Pourquoi, comme une jeune Poutre, De travers guignes-tu vers moi ? Pourquoi, farouche, fuis-tu outre, Quand je veux approcher de toi ? Tu ne veux pas que l’on te touche,

Je faisais ces Sonnets en l’Antre… Quand on vit les Français sous le… Quand on vit tout le peuple en fur… Quand Bellonne sanglante allait d… Quand au lieu de la loi, le vice,…

J’ai l’esprit tout ennuyé D’avoir trop étudié Les phénomènes d’Arate ; Il est temps que je m’ébatte Et que j’aille aux champs jouer.

Qui voudra voir comme un Dieu me… Comme il m’assaut, comme il se fai… Comme il renflamme et renglace mon… Comme il reçoit un honneur de ma h… Qui voudra voir une jeunesse promp…

Quand je pense à ce jour, où je la… Toute flamber d’amour, d’honneur e… Le regret, comme un trait mortelle… Me traverse le coeur d’une playe e… Alors que j’esperois la bonne grac…

Au mois d’avril, quand l’an se ren… L’aube ne sort si fraîche de la me… Ni hors des flots la déesse (1) d’… Ne vint à Cypre en sa conque si b… Comme je vis la beauté que j’appel…

Si autrefois sous l’ombre de Gast… Avons joué quelque chanson latine, De Cassandre enamouré, Sus, maintenant, luth doré, Sus ; l’honneur mien, dont la voix…

Quand en songeant ma folâtre j’aco… Laissant mes flancs sur les siens… Et que, d’un branle habilement lég… En sa moitié ma moitié je recolle… Amour, adonc si follement m’affole…

D’autant que l’arrogance est pire… Que les pompes et fards sont toujo… Que les riches habits, d’artifice… Ne sont jamais si beaux que la pur… D’autant que l’innocente et peu ca…

Chanson. Voulant, ô ma douce moitié, T’assurer que mon amitié Ne se verra jamais finie, Je fis, pour t’en assurer mieux

Quand je suis vingt ou trente mois Sans retourner en Vendômois, Plein de pensées vagabondes, Plein d’un remords et d’un souci, Aux rochers je me plains ainsi,

Ô pucelle plus tendre Qu’un beau bouton vermeil Que le rosier engendre Au lever du soleil, D’une part verdissant

Quand l’été, dans ton lit, tu te c… Couverte d’un linceul, de roses to… Amour, d’arc et de trousse et de f… Caché sous ton chevet, se tient en… Personne ne te voit, qui d’une cou…