#ÉcrivainsFrançais
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Un regard ou une grimace Le soleil a lui Dans le miroir ce n’est plus le mê… Un nuage passe à cheval
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Un pas de plus vers le lac, sur les quais, devant la porte éclairée de la taverne. Le matelot chante contre le mur, la femme chante. Les bateaux se balancent, les navires tirent un peu ...
Un profil immortel sur le fronton A Bornéo ou au delà Les rivières sont gelées Les animaux courent sur la piste
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris
Un arbre orienté vers le ciel Cette procession sombre On éclaire le monde avec des bougi… Tout se tient trop loin et dans l’… Un bruit de pas trouble la nuit
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Dans la rue glissante il n’y avait d’autre bruit que celui de l’eau coulant dans les fossés bordés. Les glaces ne reflétaient plus aucune image. La nuit rampait au fond s’éclairant aux ...
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...
Le globe plus agile rebondit au rebord l’oiseau glisse l’argile coule le fond de la forme l’effort
L’arbre du soir, Pabat-jour de la lampe et la clef du repos. Tout tremble quand la porte s’ouvre sans éveiller de bruit. Le rayon blanc traverse la fenêtre et inonde la table. Une main ...
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas