#ÉcrivainsFrançais
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
Le masque honteux cachait ses dent… Un autre œil voyait qu’elles étaie… Où cela se passe-t-il ? Et quand ? Il est seul, il pleure, malgré l’o…
La nuit polaire A bord les hublots sont ouverts Les trappes bâillent Assis sur le balcon qui se détache Le voilà sur fond bleu
Mec La face des têtes Idoles Dans un coin où passe une voiture Tout dort
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
J’ai peut-être mis au vestiaire plus que mes vêtements. Je m’avance, allégé, avec trop d’assurance et quelqu’un dans la salle a remarqué mes pas. Les rayons sont pleins de danseuses. Je...
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
La pluie d’or sur la vague Et le trou noir des ailes Au mur le parapet glissant laisse… Au ciel la porte s’ouvre et la cla… C’est le jour
La maigre ligne au quart du vent l’aile qui se retrousse Et la perte du temps les buttes mieux placées dans l’air l’eau qui s’égoutte les…
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
Le mal est fait Les vagues dans le salon pénètrent… A travers les ouvertures blanches… L’ombre plus bleue contre les raie… C’est de l’air