#ÉcrivainsFrançais
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
Une première fois sa canne tombe e… La jambe droite s’écarte de la lig… Son temps se passe à déjouer la st… C’était peut-être un roi, déguisé…
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Un arbre orienté vers le ciel Cette procession sombre On éclaire le monde avec des bougi… Tout se tient trop loin et dans l’… Un bruit de pas trouble la nuit
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Un pas de plus vers le lac, sur les quais, devant la porte éclairée de la taverne. Le matelot chante contre le mur, la femme chante. Les bateaux se balancent, les navires tirent un peu ...
Où iront-ils chercher tout ce qu’i… Le ciel plisse son front Prépare une tempête Les autres sont là pour la fête Et les astres tendent des fils
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Un profil immortel sur le fronton A Bornéo ou au delà Les rivières sont gelées Les animaux courent sur la piste
La porte qui ne s’ouvre pas La main qui passe Au loin un verre qui se casse La lampe fume Les étincelles qui s’allument
Dans la place qui reste là Entre quatre lignes Un carré où le blanc se joue La main qui soutenait ta joue Lune
Dans le chemin La tête creuse Quand le matin réveille le dormeur L’arbre rempli de mots qui s’envol… de fruits mûrs ou d’oiseaux
Les débris culbutés dans le coin Il ne reste plus rien Les murs et le triangle Pourtant L’espoir qui nous soutient