Prose
#ÉcrivainsFrançais
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
Vision bariolée et délicate dans sa tête, tu fuis la mienne. Il possède les astres et les animaux de la terre, les paysans et les femmes pour s’en servir. L’Océan l’a bercé, moi la mer,...
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Dans la lutte implacable de l’homm… Dans la mécanique sévère le cylind… L’homme né vigoureux progresse au… La campagne est déserte et sinistr… Mais personne ne passe
Les rafles d’or sur le ravin des v… Quand les feuillets de la mer se r… Au bruit du vent Et des portées des voiles On commence à s’habituer à tous ce…
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Ni eux ni rien pas même Lui Des marches parmi les branches qui… nuages On ne peut pas trouver le numéro n…
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Sur le rempart où tremblent des ru… La nuit finie, le bruit dissipe le… Au milieu des fumées les hommes so… Qui sonna la victoire ? La charge… Un trompette rallie des lambeaux d…
Je ne veux plus rien voir Tous les trains sont passés Un tourbillon de neige entoure la… Qui tombe Dans un fossé
Un coin au bout du monde où l’on e… Les colonnes du soir se tendent Et la porte s’ouvre à la nuit Une seule lampe qui veille Au fond il y a une merveille
Une ligne au diapason Mon regard Le battement de mes artères Je file incognito Et l’on voit venir la lumière
Autour de la table Au bord de l’ombre Aucun d’eux ne remue beaucoup Et quelqu’un parle tout à coup Il fait froid dehors