#ÉcrivainsFrançais
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Les étoiles sont près du toit et l… Un sillon tortueux creuse le sol a… Du pavillon Du temple De la ville
J’aurai peut-être perdu la clé, et tout le monde rit autour de moi et chacun me montre une clé énorme pendue à son cou. Je suis le seul à ne rien avoir pour entrer quelque part. Ils ont...
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
A travers la pluie dense et glacée… Mais ses souliers trop grands sont… O monde sans abri qui vas ce dur c… O monde qui les méprises, tu me fa…
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Au matin qui se lève derrière le toit, à l’abri du pont, au coin des cyprès qui dépassent le mur, un coq a chanté. Dans le clocher qui déchire l’air de sa pointe brillante les notes son...
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade. Mais aujourd’hui les paroles sont plus fortes, les gestes sont plus grands, et le bruit plus joyeu...
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Les étoiles sont derrière le mur Dedans saute un cœur qui voudrait… Aime le moment qui passe A force ta mémoire est lasse D’écouter des cadavres de bruits
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe