#ÉcrivainsFrançais
Il est allongé et il dort. C’est un corps mort. Un dernier rayon éclaire son visage calme où brillent des dents sans éclat. Les heures sonnent doucement autour de sa tête ; il ne les en...
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
La maison qui ne monte plus s’immobilise net dans le paysage. Mais le soir des lumières courent des fenêtres à travers les arbres. J’ai deviné ton regard qui transparaît sous tes paupiè...
Toute la face ronde Au coin sombre du ciel L’épée la mappemonde sous les rideaux de Pair
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Le matin allait à peine ouvrir son… Sur la route où passaient les homm… Seul il roulait sa boule parmi les… Toute sa peine est étrangère aux a… cherche pas à savoir s’ils en ont
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Je suis au milieu d’un nuage de neige ou de fumée L’éclat du jour fait son tapage la fenêtre en battant ouvre le mur… et l’œil déjà baissé
Vision bariolée et délicate dans sa tête, tu fuis la mienne. Il possède les astres et les animaux de la terre, les paysans et les femmes pour s’en servir. L’Océan l’a bercé, moi la mer,...
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...