#ÉcrivainsFrançais
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Les mille trous de l’air Au nid A la courbure Sur la pointe du toit qui grince Et ce trésor
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
L’ombre danse Il n’y a plus rien Que le vent qui s’élance Le mouvement s’étend du mur Et se gonfle
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Une éclaircie avec du bleu dans le ciel ; dans la forêt des clairières toutes vertes ; mais dans la ville où le dessin nous emprisonne, l’arc de cercle du porche, les carrés des fenêtre...
Chemin faisant dans les clartés si… Dans l’obscurité complète le temps… Roulé au fond sombre du circuit et… Tout ce qui luit Qui s’éteint
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
Par le tuyau du ciel ouvert le ven… Un nuage affolé poursuit son ombre… Et sur le hâle du plafond Une ligne blanche Plus large
Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir—descend sur le sommet de la tête nue—la tête du vieillard qui s’arrête. Il est dans un jardin bordé de grilles, en cag...
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Toute la face ronde Au coin sombre du ciel L’épée la mappemonde sous les rideaux de Pair
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
A la petite fenêtre, sous les tuiles, regarde. Et les lignes de mes yeux et les lignes des siens se croisent. J’aurai l’avantage de la hauteur, se dit-elle. Mais en face on pousse les v...