Quand l’homme approche enfin des s… Va plonger dans votre ombre inerte… Debout sur la hauteur aveuglément… Les premiers jours vécus éblouisse… Tandis que la nuit monte et débord…
Fable XVI, Livre II. Je ne sais quel despote aperçoit s… Le nez sur le carreau, dans la fan… Jeune et prince, à juger il était… « La mort, la mort au téméraire
L’aimable et tendre Philomèle, Voyant commencer les beaux jours, Racontait à l’écho fidèle Et ses malheurs et ses amours. Le plus beau paon du voisinage,
Le jour vient de tomber, jour brûl… Qui laisse, en s’éteignant, un cré… Dont la lueur descend en reflet ar… Sur l’enfant chaste et nu, qui mol… Insoucieux, il dort ; pour lui le…
Dans la place qui reste là Entre quatre lignes Un carré où le blanc se joue La main qui soutenait ta joue Lune
(Du camp de Philisbourg, le 3 jui… C’est ici que l’on dort sans lit, Et qu’on prend ses repas par terre… Je vois et j’entends l’atmosphère Qui s’embrase et qui retentit
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
Salaün chantait sous les deux dole… —Las de son stérile et morne veuva… Mon cœur est parti sur la mer sauv… Avec les pluviers et les goélands. « Prends garde ! » disaient les pl…
Sonnet. L’été, ces deux bouleaux qui se fo… Avec ce délicat et mystique feuill… D’un vert si vaporeux sur un si fi… Ont l’air extasié devant les yeux…
Sur le seuil personne Ou ton ombre Un souvenir qui resterait La route passe Et les arbres parlent plus près
Sonnet. J’ai deux tentations, fortes égale… Le duvet de la rose et le crin du… Une rose du moins qui jamais ne se… Un cilice qui morde opiniâtrement…
(En… Lisez et relisez, ma sœur, De Psyché l’admirable histoire : Vous y verrez que le bonheur N’est pas toujours avec la gloire.
Flamme Qui tout brûle et dissout ; Lame Qui tout tranche et découd ; Rame
Je suis comme cette plante, Quand j’ai assez d’eau et de solei… Je bourgeonne, je grandi, et j’écl… Je m’accroche, quand le vent et le… Je bois l’eau de la pluie quand el…
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb
Sur la branche d’un arbre était en… Un vieux Coq adroit et matois. Frère, dit un Renard adoucissant… Nous ne sommes plus en querelle : Paix générale cette fois.
J’ai, toute cette nuit, ferme et t… Écrit, rêvé,... c’est bien, et je… Je suis content de moi ! La nuit… C’est l’aurore ; mes yeux voient m… Puissé-je ainsi, penché sur l’exis…
Quand j’admire tes nobles cheveux… Et que là je m’éprends de ta perfe… Mon cœur soumis est en pleine détr… Tant il se consume de passion. Un raz de marée s’y déroule,
Fable XII, Livre III. Ces dés qui, chassés d’un cornet Pour être agités dans un autre, Par un canne ou par un sonnet Règlent ma fortune et la vôtre ;
A cause de l’eau le toit glisse A cause de la pluie tout se fond Le pétrole l’alcool et ma faible b… Ont incendié la maison Un jardin sans oiseaux
Dans votre poétique et doux pèleri… Au tombeau glorieux du chantre des… Objet sacré de plus d’un grand voy… Des enfants d’Albion, des Françai… Vous n’avez donc pas fait une cour…
Fable X, Livre IV. « Ma sœur, vois-tu là-bas, là-bas, Vois-tu ce tourbillon s’élever sur… Comme il grossit ! vers nous comme… Que nous annonce-t-il ? un carross…
Le Vestiaire Le Portemanteau La lumière
Ne me dis pas que j’ai du pain à m… Il est à moi puisque j’en ai envie… Remarquez qu’on lui a mis de la sa… S’il continue à bouffer de ce trai… Sans parler de ce que je tiens dan…
La négligence est un défaut Plus dangereux que bien des vices… D’abord sur moins que rien tu glis… Puis sur ceci, cela ; bientôt Sur tout, égards, devoirs, sagesse…
Le maître d’hôtel noir est pendu après la suspension Il a osé jeté un regard dans le décolleté de la maîtresse de maison.
Elle avait fui de mon âme offensée… Bien loin de moi je crus l’avoir c… Toute tremblante, un jour, elle ar… Sa douce image, et dans mon cœur r… Point n’eus le temps de me mettre…
C’étaient trois matelots de Groix… Ils étaient partis tous les trois Pêcher la sole : Les pauvres garçons n’avaient pas Plus de sextant que de compas
9. Fentanyl mon amour jusques à quand… Les roses sont fleuries les lilas… L’été rebique et toi non pourquoi… Autrefois la nature donnait de quo…
Afin que ton renom s’étende par la… Autant qu’il monte au ciel engravé… Invoquant tous les Dieux, et répa… Je consacre à ton nom cette belle… Pasteurs, que vos troupeaux frisez…