Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Couronné d’étincelles Un marchand de pierres à briquet Élève la voix le soir Dans les couloirs de la station Javel
Il y a sur la plage quelques flaqu… Il y a dans les bois des arbres fo… La neige fond dans la montagne Les branches des pommiers brillent… Que le pâle soleil recule
Le pauvre crocodile n’a pas de C cédille on a mouillé les L de la pauvre grenouille le poiss… Mais tous les oiseaux ont des aile… L avant 1" E
Pour la première fois, quittant vo… Vous m’avez, hier soir, donné le b… Que j’allais près de vous ainsi, c… J’ai senti contre moi palpiter que… Mon visage soudain est devenu tout…
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson trem… Dans la maison qui touche aux bois… Elle avait DIX ans, et moi trent…
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Regardez un cœur transparent, Garde-le à l’esprit, pour t’en sou… Si je mets mon âme à nu devant toi… Cherche la consolation dans la tra… Face aux constats,
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
La Nature est un temple où de viv… Laissent parfois sortir de confuse… L’homme y passe à travers des forê… Qui l’observent avec des regards f… Comme de longs échos qui de loin s…
La terre est bleue comme une orang… Jamais une erreur les mots ne ment… Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
Moi je joue du piano disait l’un moi je joue du violon disait l’autre moi de la harpe moi du banjo
L’amour est une chose fragile, fac… Sous le poids de l’incertitude, il… Mais nous y revenons, à ce rêve lo… ce sentiment fugace qui s’évapore… C’est comme essayer de saisir une…
« Délivrez-moi de ma lourde parure… Ces longs habits, cette riche coif… Doublent encore la fatigue du soir… L’heure s’avance, et déjà du manoi… Les murs épais sont enveloppés d’o…
Quand le ciel couleur d’une joue Laisse enfin les yeux le chérir Et qu’au point doré de périr Dans les roses le temps se joue, Devant le muet de plaisir
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
L’un t’éclaire avec son ardeur, L’autre en toi met son deuil, Nat… Ce qui dit à l’un : Sépulture ! Dit à l’autre : Vie et splendeur… Hermès inconnu qui m’assistes
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
La Pythie, exhalant la flamme De naseaux durcis par l’encens, Haletante, ivre, hurle !... l’âme Affreuse, et les flancs mugissants… Pâle, profondément mordue,
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
C’était dans un quartier de la vil… Lumière Où il fait toujours noir où il n’y… Et l’hiver comme l’été là c’est to… Elle était dans l’escalier