Quand de la divine enfant de Norv… Tout tremblant d’amour, j’osai m’a… Il tombait alors des flocons de ne… Comme un martinet revole au cloche… Quand je la revis, plein d’ardeurs…
Comment aurait-elle pu, Quand je le pouvais à peine, Renouer le fil rompu De notre vie incertaine ? Les baisers sont des baisers.
Il en est encore une au monde, Je la rencontre quelquefois, Je dois vous dire qu’elle est blon… Et qu’elle habite au fond des bois… N’était que Vous, Vous êtes brune
Vostre bouche dit : Baisiez moy, Ce m’est avis quant la regarde ; Mais Dangier de trop prés la gard… Dont mainte doleur je reçoy. Laissiez m’avoir, par vostre foy,
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
L’un vainqueur ou l’autre battu, Ces beaux soldats qui vous ont fai… Gardaient jusque dans la défaite Le sourire de leur vertu. Vous, pour avoir rendu les armes,
Les fourriers d’Amours m’ont logé En ung lieu bien à ma plaisance, Dont les mercy de ma puissance, Et m’en tiens à eux obligé. Afin que tost soit abregé
Des montagnes très loin paraissent… La grève se déroule à l’ombre des… Et la haute marée ensevelit les ro… Les astres allumés par l’homme son… Le blanc navire tranche avidement…
Les bois ont dépouillé leur costum… A dû livrer au vent sa riche brode… Et les merles moqueurs, qui siffla… Ne savent où cacher leur vol vif e… Voici venir l’hiver, ceint avec ma…
Ne blâmez point la molle rêverie Qui m’aide à fuir les pensers glor… Je ne puis rien aux maux de ma pat… Je veux du moins en détourner les… Festins, où naît l’éclatante saill…
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
À Adolphe Willette. Pour plus d’agilité, pour le loyal… Les témoins ont jugé qu’Elles se… Les causes du combat resteront inc… Les deux ont dit : « Motif tout i…
Tu vois .. après tant d’années . À vivre ensemble à s aimer . Nous avons fait des compromis . Autour d une bière .. la nuit . Tu vois .. les enfants sont parti…
Virage Il lui suffit d’un drift, pour lea… Qui n’aiment rien de droit, aucune… L adaptation est joie, aucun ne se… L’idée est toujours chercher, à êt…
Je veux d’une plainte suave Exhaler ma peine au soleil Et que mon chant soit pur et grave Comme une campagne au réveil : Une campagne solitaire
Au bord du clair bassin qu’à peine… Eau pure où le regard jusqu’au sab… Dans sa fleur du matin, dans sa be… Rêvait la blonde enfant à l’œil te… Au charme dangereux, s’il n’était…
À la porte d’un beau château Bâti pendant la Renaissance, Une dame au riche manteau, Les cheveux baignés d’une essence Divine, rit au vert coteau.
O vraie et lamentable image de la… La joie entre par où la douleur es… Le bonheur prend le lit d’où fuit… À ce qui naît le jour Dieu fait pl… La coupe de la vie a toujours même…
Reliées par la mer On se rencontre très petites Puis sur les vagues on erre Cherchant notre pépite Tu es attirée par les phares
Se battre juste une fois, guerre é… Se choisir sans vergogne, un objec… Rester sur le tarmac, recevoir la… Garder le javelot, des tremblement… Briser le ciel de pluie, par un sm…
Comme un roseau plaintif au bord d… Tu gémissais : « Ô le méchant seig… Pourquoi m’a-t-il trahie et se peu… Tué, lui qui m’aimait, Polonius m… Adieu donc, tendres jours de joie…
Que chantent les grillons et s’all… Un esprit est venu sur le fleuve h… Réapprendre à nos cœurs des mots m… N’incite plus, ô vent, les feuille… Dans l’air est apparu l’ancien rêv…
Te voilà dans les bois, Nuit douce et blanche, Et ton ombre se penche Autour de moi. Tout à l’heure, mauves de brume,
Imitation de Pétrarque. Si ce n’est pas l’amour, quel feu… Ou quel est cet amour dont je me s… Si c’est un bien, pourquoi cause-t… Si c’est un mal, pourquoi fait-il…
Non Le personnage historique Et là le soleil s’arrêtait C’était un homme qui passait Le cheval si maigre
Le cortège léger glisse aux plaine… Une rose lueur teinte le flot chan… C’est la jeune Amphitrite, en sa… Qui passe sur la mer avec ses Nér… L’archipel a surgi vers les lointa…
Sonnet LVXXXIII. Ne pense, Robertet, que cette Rom… Soit cette Rome-là qui te soulait… On n’y fait plus crédit, comme l’o… On n’y fait plus l’amour, comme on…
Cœur naïf ! j’avais cru pouvoir à… Dévoiler mes douleurs comme en fac… Et trouver pour mon âme une âme, Une seule parmi la foule des humai… Un inconnu qui vînt me prendre les…
À Émile Wroblewski. Apportez-moi des fleurs odorantes, Pour me parer, compagnes errantes, Pour te charmer, ô mon bien-aimé. Déjà le vent s’élève embaumé.
Bouches gourmandes des couleurs Et les baisers qui les dessinent Flamme feuille l’eau langoureuse Une aile les tient dans sa paume Un rire les renverse.