Nez moyen. Œil très-noir. Vingt a… Les cheveux bien plantés sur un fr… Nom simple et très joli, que je ne… Signe particulier : ta maîtresse,… Une grâce, charmante et tout à fai…
Ils disent qu’au ciel on retrouve Ces chers petits morts tant pleuré… Ah ! savent-ils bien ce qu’éprouve Le cœur des parents éplorés. Ils sont étonnés qu’on se plaigne.
Verts gazons où fleurit la blanche… Ombrage qu’au printemps la violett… Vallons, bocage, humble sentier, Dont la mousse reçoit cette pluie… Qui tombe au gré des vents du fron…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
Vaincus, mais non domptés, exilés,… Et malgré les édits de l’Homme et… N’ont point abdiqué, crispant leur… Sur des tronçons de sceptre, et rô… Les nuages coureurs aux caprices m…
Le lendemain du premier jour de ma… Dedens mon lit ainsi que je dormoy… Au point du jour m’avint que je so… Que devant moy une fleur je veoye, Qui me disoit : « Amy, je me soul…
Oh ! que ne suis-je un de ces homm… Qui, géants d’un siècle effacé, Jusque dans le siècle où nous somm… Règnent du fond de leur passé ! Que ne suis-je, prince ou poète,
Mon cœur est un manoir croulant et… Un vieux manoir perdu de l’antique… Entre qui veut ! Le vent, la brum… Par ses corridors vont rôdant. Ils sont chez eux dans ce vieux cœ…
IDYLLE. Maintenant sous le ciel tout re… Lamartine Sur l’herbe du verger, au pied de… Le jeune homme est assis près de l…
Fable XII, Livre IV. L’oiseau-roi veut-il reconnaître S’il a transmis sa force au fruit… Si l’aiglon sera digne un jour Du noble sang qui l’a fait naître…
« Embarque, les amis ! c’est diman… —La Dame jeanne ici !—Pousse.—Do… —As-tu le pain ?—Bon ça !—Garçon,… Le ciel est comme un champ plein d… N’est-ce pas, paysans qui, le same…
Si tu veux abuser mon coeur D’une autre image que la sienne, Peu à peu, tristement moqueur, Il retrace l’image ancienne. C’est un pêle-mêle inouï,
Dans l’ombre silencieuse de la solitude, Les mots se réveillent, écho d’une âme en quête. Ils dansent, légers, sur les rives de l’incertitude, Porteurs de secrets, de douleurs, de prome...
Sonnet. Je suis encombré des amours perdue… Je suis effaré des amours offertes… Vous voici pointer, jeunes feuille… Il faut vous payer, noces qui sont…
Loin des grands rochers noirs que… La mer calme, la mer au murmure en… Au large, tout là-bas, lente s’est… Et son sanglot d’amour dans l’air… La mer fauve, la mer vierge, la me…
Les débris culbutés dans le coin Il ne reste plus rien Les murs et le triangle Pourtant L’espoir qui nous soutient
Ils sont fiers ceux-là !... comme… C’est à la don-juan qu’ils vous fo… Ils ne sentent pas bon, mais ils f… Valeureux vauriens, crétins cheval… Prenant sans demander – toujours s…
Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…
Nous sommes partis ce matin, Sans savoir où, pédétentin, Au diable ! J’en étais moi-même effaré, Tant la route avait un air e–
L’âme perdue Mon âme, pourquoi ce silence et ce… Rien n’est comme avant sans ta joi… Pas même un sourire vers ce triste… Tes humeurs se dégradent et s’entr…
Cache mon mistral, de cette grande… La peur est si petite, face à ce g… Que je ne saurai nier, ni laisser… Il me porte au sommet, de ce que j… Me fait tant dévaler, de pente si…
En forêt. À M.… Au creux des humides savanes, Ceint des herbes et des lianes Qui foisonnent dans les roseaux,
Ouvert à la fraîcheur des roses em… Le nez, suite du front classiqueme… Se dessine un peu grand, irréproch… Dans la convention plastique des c… La plus belle parmi les mortes bie…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
Après une chaleur si dure Tout se rafraîchit pour l’instant. La pluie est absorbée autant Par le roc que par la verdure. Terrains noirs, sillons bruns et r…
À Leconte de Lisle. Quand on vieillit, on aime à lire… Comme on aimait, enfant, Robinson… Le berceau de Moïse et l’arche de… Achevant sur les monts sa haute tr…
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
Je connais, au fond d’une anse Où sa maigre forme danse, Un érable mort, Mort nous raconte une histoire De s’être penché pour boire