Dans le vieux cimetière, où cette… Sur l’aubépine en fleurs A versé, dans un flot que le solei… Des parfums et des pleurs ; Au coucher du soleil, dans le vieu…
Appareillage d’un brick corsai… « Quand… L’on ai… Cent vingt corsairiens, gens de co… À bord de la Mary-Gratis, ont mis…
Pour bercer son sommeil mystique d… Au fond du petit lit où l’on se pe… Je lui chante à mi-voix les chanso… Viviane aux yeux pers, Merlin ou… Qu’étreignait un démon accroupi su…
Alfred, j’ai vu des jours où nous… Servant les mêmes dieux aux autels… Le ciel n’avait formé qu’une âme p… Beaux jours d’épanchement, d’amour… Où ma voix à la tienne incessammen…
Quel chagrin obscurcit tes yeux ? Qu’as-tu, ma chère Léonore, Toi qu’une souris si gracieuse Naguère embellissait encore ? Un amour tendre et malheureux
Sur nos pas le profond enfer s’est… Ô compagnon pensif qui m’enseigne… Moins réprouvés que nous, les mort… Blasphèment : « Dieu nous hait, m… Sur l’extrême plateau qu’une aube…
Etna– j’ai monté le Vésuve... Le Vésuve a beaucoup baissé : J’étais plus chaud que son effluve… Plus que sa crête hérissés... —Toi que l’on compare à la femme..…
Je meurs de soif en couste la font… Tremblant de froit ou feu des amou… Aveugle suis, et si les autres mai… Povre de sens, entre saichans l’un… Trop negligent, en vain souvent so…
Très sévère, cet hiver Même si proche de la lune Même si loin de la terre Même si discret, même si dur Même s’il est très étrange
Dans ce pays lugubre et si loin de… Un cimetière d’autrefois, Bien souvent m’attirait avec sa gr… Dont la tête et les bras se termin… Or, fin d’automne, un soir que tou…
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
Le soleil des beaux yeux ne brûle… Plus tard il s’affaiblit ; plus tô… C’est un rayon d’avril, pâle encor… N’échauffant que la grâce au lieu… Au solstice de l’âge un instant ar…
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Caliste, en cet exil j’ai l’âme si… Qu’au tourment que je souffre il n… Et ne saurais ouïr ni raison ni co…
Ex-voto dans le goût espagnol Je veux bâtir pour toi, Madone, m… Un autel souterrain au fond de ma… Et creuser dans le coin le plus no… Loin du désir mondain et du regard…
Si calme la peau grise éteinte cal… Faible de la nuit prise dans ses f… Elle n’a plus de la lumière que le… Amoureuse cela lui va bien d’être… Elle n’attend pas le printemps.
Je suis énervé, frustré, déçu et t… Ces initiateurs de la folie de ma… Initialement de mon unique parti, Qui me complexifie réellement ma v… Ils veulent en tout moment, me pro…
Le rythme séducteur nous appelle ;… Lui répondre en mes bras, jeune fi… Valsons légèrement de tous côtés c… Et qu’en nous la clameur des besoi… Pendant que nous serons ensemble,…
Voilà .. je suis bien vivant et… Je vieillis un peu .. je marche a… Ceci c est ma biographie . J adore super la queue et la bière… J écris des articles depuis des an…
Quand je te voy seule assise à par… Toute amusée avecques ta pensée, Un peu la teste encontre bas baiss… Te retirant du vulgaire et de moy… Je veux souvent pour rompre ton es…
Une première impression Peut définir l’avenir Et il suffit d’un sourire Pour une relation établir Un sourire naturel
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Non, mon cher, Dieu merci ! pour… Je ne me suis pas fait poète satir… Mon silence n’est pas, quoiqu’on p… Une prétention de me faire écouter… Je puis bien, je le crois, sans cr…
Moi qui ne suis qu’un brin d’hysop… Du Seigneur tout-puissant qui m’o… Je puis, si mon dessein est pur de… Purifier autrui passant sur mon ch… Je puis, si ma prière est de celle…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…
Sonnet. Nature, accomplis-tu tes œuvres au… Sans raisonnable loi ni prévoyant… Ou bien m’as-tu donné par cruelle… Des lèvres et des mains, l’ouïe et…
Derrière les brouillards blancs co… La lune, œil endormi qui se souvie… Me sourit, et sa flamme embellit l… Du bois où sourdement court la sèv… Ô nuit ! forêt sans bords, lune, s…
Deux heures après diner Il est temps de se reposer Ni mouvement aucun bruit Deux heures après midi Un chien prudent vient inspecter
Aux arbres il faut un ciel clair, L’espace, le soleil et l’air, L’eau dont leur feuillage se mouil… Il faut le calme en la forêt, La nuit, le vent tiède et discret
J’ai regardé longtemps tes yeux, v… J’ai regardé longtemps tes yeux, v… Dans l’azur délicat dont leur moir… Le rêve qui repose et berce la pen… J’ai regardé tes yeux pour y cherc…
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable