C’était en octobre, un dimanche, Je revenais de déjeuner ; Vous jouiez au lit, toute blanche, Vos cartes dans votre main... fran… Qui commence à les retourner.
Dors, Maître, dans la paix de ta… Cerveau prodigieux, d’où, pendant… Jaillit l’éruption des concerts éc… Va ! la mort vénérable est ton apo… Ton Esprit immortel chante à trav…
Notre Eldorado, Mes amis, enfin doit éclore : Malgré mon bandeau, Je vois une nouvelle aurore. Aux cieux extasiés
Je suis jeune ; la pourpre en mes… Mes cheveux sont de jais et mes re… Et, sans gravier ni toux, ma poitr… Aspire à pleins poumons l’air du c… Aux vents capricieux qui soufflent…
Je supplie avant tout les Dieux d… Veuillent les Immortels, conducte… Que je ne dise rien qui doive être… Sans leur aide, il ne peut entrer… Que tout mal et toute injustice :
Regardez-les tous deux : c’est un… Qui, les mains dans les mains, cau… Du pétulant jeune homme à la voix… La jeune fille émue écoute les ser… Mais qu’ils sont loin déjà ces mag…
L’été De l’aube au crépuscule règne un s… Qui ne laisse place qu’à un bain d… Aucun nuage ne perturbe sa sérénit… Comme un feu luisant, sa lumière v…
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
Sonnet. J’écris ici ces vers pour que, le… À tous les rêves bleus que font le… Vous laissiez sur vos yeux, placid… Tournoyer ma pensée et s’y mouille…
Je ne veux pas survivre Ce n’est pas vrai Je veux simplement vivre Sans limites, sans arrêt Ressentir chaque instant
Contrerime XLII. À l’Alcazar neuf, où don Jayme Gratte un air maugrabin, Carmen dansant dans son lubin : Ce n’est pas ce que j’aime.
Certain monarque un jour déplorait… Et se lamentait d’être roi : Quel pénible métier ! disait-il :… Est-il un seul mortel contredit co… Je voudrais vivre en paix, on me f…
Monde de souffrances Comme une ombre oscillant autour d… Se manifeste timidement un adversa… Qui aurait pu pour quelques temps… Mais j’ai subi les méfaits de cett…
À Édouard Dubus. Je suis l’expulsé des vieilles pag… Ayant un peu ri pendant le Mystèr… Les anciens ont dit : Il fallait… Quand nous récitions, solennels, n…
Le soleil brûlant Les fleurs qu’en allant Tu cueilles, Viens fuir son ardeur Sous la profondeur
Couple heureux et brillant, vous q… Dès longtemps comme un hôte à vos… Qui m’avez laissé voir, en votre d… Triomphante, et d’éclat partout en… Le cours intérieur de vos félicité…
Quand la lune mène, et élève tous… Lâchée dans l’atmosphère, sans une… Puis les voir s’enflammer, dernièr… Pour tous ces hopposomes, qui nous… Un impact au summum, un gros tunne…
Oh ! comment retenir cet ange qui… Comme il est sombre et pâle ! il r… Comme il s’envole vite !... et de… S’échappe malgré moi son aile impa… « Reste encore ! il me semble, ang…
Mélancolie est au fond de mon cœur… De chants joyeux n’ai pas la fanta… Plaintes, soupirs, accents de la d… Voilà les chants de la mélancolie. Cesse, ô ma voix ! cesse de soupir…
Sur la lune s’inscrit Un mot La lettre la plus grande en haut Elle est humide comme un œil
Une hermine, un castor, un jeune s… Cadets de leur famille, et partant… Dans l’espoir d’en acquérir une Quittèrent leur forêt, leur étang,… Après un long voyage, après mainte…
Salaün chantait sous les deux dole… —Las de son stérile et morne veuva… Mon cœur est parti sur la mer sauv… Avec les pluviers et les goélands. « Prends garde ! » disaient les pl…
Sonnet VIII. Oui, mais ainsi qu’on voit en la g… Les débats des plus grands, du fai… De leur douteux combat laisser tou… Au corps mort du pays, aux cendres…
C est les Dates Historiques . 1953 .. naissance dans le Poitou… 1963 .. déménager en Touraine . 1973 .. Veigné Carrelage . 1983 .. mariage à Nice .
Quel était ton désir et ta crainte… Quoi ! le vœu de ton cœur, ta Mus… Rougit-elle de l’exprimer ? Alcée, on reconnaît l’amour à ce l… Sapho feint vainement que ton disc…
Sur les rives de mon chagrin, Tu t’es échouée. Brisée, ton corps secoué et Tes pleurs répétés. Sur les rives de mon chagrin,
Sur le départ de la vicomtesse… 1608. Ils s’en vont ces rois de ma vie, Ces yeux, ces beaux yeux, Dont l’éclat fait pâlir d’envie
Or, je suppose que nous sommes, Madame, dans votre salon : On parle chiffres, rentes, sommes… « Je suis le plus pauvre des homme… J’ai dans ma bourse un seul doublo…
Je nais parmi une multitude d’autr… On m’abreuve lentement tout pareil… On me voit comme on voit toutes ce… Je meurs seul, je ne suis plus cet… On apprend au jeune enfant à march…
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…