Impie
Quand la lune mène, et élève tous les vices,
Lâchée dans l’atmosphère, sans une gravité,
Puis les voir s’enflammer, dernière réalité,
Pour tous ces hopposomes, qui nous ont trop cherché,
Un impact au summum, un gros tunnel sous terre,
Une voie vers les enfers, une profonde autoroute,
Un allé au Yémen, l’entrée chez la belle mère,
Pas une question d’égo, mais plutôt d’apéro,
De grillades brûlantes, de la chaleur intense,
Bref tout ça chez mamie, je vis pour aujourd’hui,
Toi aussi on m’a dit ? Me regarde pas comme ça,
Je te l’ai toujours dit, en moi chauffe la foi,
De l’être aux milles facettes, qui toutes nous montrent la voie,
De l’inconditionnel, du vrai universel,
De cette gentillesse, qu’on cherche tous les soirs,
Je parle de la sagesse, qu’on range dans un placards,
Qui peut orner la table, faire sa vie dans les bois,
Qui saquettent notre répertoire, mais qu’on appel parfois.
Sinon vivre avec lui, ce sage qui nous poursuit,
Qui nous attrappe parfois, et nous indique la voie,
Mais pourquoi écouter, le bien c’est pour les pauvres,
Je préfère le malin, lui me guide vers les îles,
J’y verrai mon destin, la pire blague de ma vie.
Je préfère être moi, dans mon chez moi moi moi,
Aérer mon cerveau, préparer les assauts,
De l’égo en pleine foir, alors qu’il danse rocko,
Voir chaque pétales de joie, sur chaque visages sympa,
Leur parler du bonheur, qu’ils répondent en ferveur,
A notre pensée impie, on vise que le profit
