Un ami me parlait et me regardait… Alors, c’était mourir... mon jeune… De l’orage enfermé dont la foudre… Et cet ami riait, car il était moq… Il n’avait pas d’aimer la funeste…
Sonnet. Les lignes du labour dans les cham… Fatiguent l’œil, qu’à peine un toi… Et la voûte du ciel tout entière a… Bornant d’un cercle nu la plaine m…
C’était en juin, dans le jardin, C’était notre heure et notre jour… Et nos yeux regardaient, avec un t… Les choses, Qu’il nous semblait que doucement…
Le bassin est uni : sur son onde l… Pas un souffle de vent ne soulève… Au lever du soleil, chaque flot ar… Court, par un autre flot sans cess… Il répète ses fleurs, comme un mir…
Un jupon serré sur les hanches, Un peigne énorme à son chignon, Jambe nerveuse et pied mignon, Oeil de feu, teint pâle et dents b… Alza ! olà !
Il est, bien loin de l’Italie, Un lieu cher à mon souvenir ; C’est là qu’a commencé ma vie Et c’est là que je veux mourir. Petit sur la carte du monde,
À ma mère. La blessée est contre un coussin Trempé du sang de la blessure Qu’elle porte au-dessous du sein. Qu’elle est blanche ! Le médecin
Souvenez-vous des humbles cimetièr… Que voile aux villages voisins Le pli d’un coteau pâle où pendent… Qu’éveille, au point du jour, l’ai… Seuls, les vieux fossoyeurs ont d’…
Je ne dis rien de toi, toi, la plu… Toi, la plus douloureuse, et non l… Toi, rentrée en mon sein ! je ne d… Qui soufres, qui te plains, et qui… Le sais-tu maintenant, ô jalouse a…
L’empereur vit, un soir, le soleil… Il courba son front triste, et res… Puis, comme il entendit ses horlog… Qu’il venait d’accorder, d’un pied… Il pensa qu’autrefois, sans avoir…
Sur un groupe du Statuaire E.… L’épée en main, le pied sur la rou… Douce à l’homme futur, terrible au… Elle vole, les yeux dardés droit d… Dans sa grâce, sa force et sa séré…
Mon Loys, j’ai sous vos prunelles… Oublié, dans mon cœur troublé, Mon époux qui s’en est allé Pour combattre les infidèles. Quand nous le croirons loin encor,
Amie ailée Par ce beau soleil se couchant, Je vois un ange doré se levant, Montant vers les étoiles si lointa… Comparées à de si glorieuses reine…
Que je hais cet art de pédant, Cette logique captieuse, Qui d’une chose claire en fait une… D’un principe erroné tire subtilem… Une conséquence trompeuse,
On se réveille dans des états très différents, en fonction du drap dans lequel on s’est emballé, si la nuit a été de courte durée, si la nuit a été pleine ou si la lune a fait des sienn...
De jeunes écoliers avaient pris da… Un hibou, Et l’avaient élevé dans la cour du… Un vieux chat, un jeune oison, Nourris par le portier, étaient en…
Assassin Il tua son seul sang, d’une volée… Attrapé en traîtrise, d’une envolé… Ses yeux autour du monde, à sentir… L’argent n’est pas maître, d’une p…
—Tu veux me comprendre ? C’est bi… Mais le peux-tu ? C’est autre cho… Peux-tu me saisir dans ma cause, Et de mon cœur faire le tien ? Retrouves-tu, par clairvoyance,
C’est pour pourvoir des lendemains qui sont en train de ne plus faire… On pourrait s’y ajourner et ce ser… comme une maison de campagne avec un lac et tout ça
Lasse enfin de courir, vagabonde p… Ne reprendras-tu point ton allure… Ton pas doit-il fouler le pavé des… Et ta main, sans pudeur, toucher t… N’as-tu pas regretté, dans tes lab…
Puisque tu vas, Angélique, Au calvaire des Roseaux, Rapporte-moi, pour relique, Une froide fleur des eaux. On ne dort pas sous la haire ;
Tout au fond de mon cœur J’entends cette mélodie Qui brûle avec ardeur Mes émois, mes envies Est-ce de l’amour que je ressens ?
Rêve Toi douce et belle créature, toi m… En secret je t’admirais, je te tro… Sans cesse c’est vers toi que mes… Toujours avec toi je passais mes j…
Connaissez-vous dans le parc de V… Une Naïade, œil vert et sein gonf… La belle habite un château de roca… D’ordre toscan et tout vermiculé. Sur les coraux et sur les madrépor…
Confort et far-niente !– toute une… De calme et de bien-être, à donner… De s’en aller là-bas être Flamand… La pipe culottée et la cruche à fl… Le vidrecome large à tenir quatre…
Je me meurs, je succombe au destin… De ce dernier moment veux-tu charm… Viens encore une fois presser ta m… Sur mon cœur. Quand il aura cessé de brûler et d…
La feuille vole cachant l’ombre Un jour de plus vient s’ajouter au… Les passants arrêtés à l’étage au-… Quelqu’un descend L’araignée monte
Eh quoi ! pour vous ma voix trop p… Essaie en vain un chant naïf et do… L’essor pourtant lui doit être fac… Lorsque son vol le pousse ainsi ve… Joyeux essaim qui, murmurant, t’év…
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Sonnet. Si mon âme claire s’éteint Comme une lampe sans pétrole, Si mon esprit, en haut, déteint Comme une guenille folle,