À Madame Cousinery. Lorsque, portant sa croix, Jésus… Traîné sur le Calvaire, en gravis… Trébuchant dans sa robe écarlate,… Sur la route pierreuse... Elle ét…
À Mademoiselle Louise Crombach… Vous le saurez ! La vie a des abî… Cachés au loin sous d’innombrables… Les rossignols qui chantent à leur… Où chantent-ils dans la saison des…
C’est un morceau de poésies . C est un peu de pluie sur le pare… Tu vois .. j ai rajouté des mots… J ai couché avec mon copain . Dans la nuit .. il m as pénétré à…
Au fond de toi se trouve une maiso… Un endroit au silence apaisant Rempli de douceur et de saisons Au fond de toi se trouve un foyer Un jardin au calme reposant
Cette vie nouvelle Qu’étais-je devenu en ce temps, Un homme rempli d’un mal sévissant… Enfermé par ma nature pécheresse, Causant à d’autres quelques triste…
Ne me quitte pas Ô ma douce et belle, Tes sentiments s’entremêlent, Tu te sens si mal, Ta joie était si bancale.
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Sonnet. 1608. Voyant ma Caliste si belle, Que l’on n’y peut rien désirer, Je ne me pouvais figurer
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Sonnet. Je t’aime, en attendant mon éterne… Celle qui doit venir à ma rencontr… Dans l’immuable éden, loin de l’in… Où les prés n’ont de fleurs qu’à p…
Les femmes lentement descendent le… Et s’arrêtent au bord de la margel… Sur leur tête la cruche en argile… Demeure droite et tremble à peine… Le plaintif Océan, d’oit monte un…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice
Sous les averses de pluie, les larmes de la vie sont tombées sur moi, m’appelant à la cruauté des gens. Les larmes n’ont pas de couleur, mais leur douleur est multiple. J’ai beaucoup pl...
Je ne sais pas pourquoi je me croi… J’ai l’esprit travaillé d’un mysté… Je me vois au milieu des arbres, e… Dans les bourgeons courir le friss… J’ai le cœur et les yeux tout gonf…
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb
Sonnet XXXVI. Depuis que j’ai laissé mon naturel… Pour venir où le Tibre aux flots… Le ciel a vu trois fois par son ob… Recommencer son cours la grand lam…
De Thalie, Plus jolie, Quand Mars enchante les jeux, Cette Muse Qui s’amuse
Fable II, Livre III. Médor est un vrai chien de race, Des mieux nés et des mieux appris… Il n’a pas d’égal, soit qu’il chas… Lièvre ou lapin, caille ou perdrix…
Tandis qu’un reste d’ombre obscurc… Et que la brume encore enveloppe l… Derrière la montagne aux cimes den… Le soleil surgit radieux. C’est lui, c’est le soleil ! Éveil…
De la Renommée du Roi Henri le G… Ballet de la Reine, dansé au mois… Pleine de langues et de voix, Ô roi, le miracle des rois, Je viens de voir toute la terre,
Amour, divin rôdeur, glissant entr… Sans te voir de mes yeux, je recon… Inquiets des lueurs qui brûlent da… Tous les regards errants sont plei… C’est lui ! Sauve qui peut ! Voic…
C’est au pays de Léon. – Est une petite chapelle à saint Tupetu. (En breton : D’un côté ou de l’autre.) Une fois l’an, les croyants – fatalistes chrétiens – s’y rendent en pèl...
Ô chevrier ! ce bois est cher aux… Point de houx épineux ni de ronces… À travers l’hyacinthe et le souche… Une source sacrée y germe et coule… Midi brûle là-bas où, sur les herb…
Fable XIV, Livre IV. « L’excellente caricature ! » Disait un jeune coq en riant aux é… Un chapon, malgré l’aventure Qui l’oblige au moins gai de tous…
J’allais par des chemins perfides, Douloureusement incertain. Vos chères mains furent mes guides… Si pâle à l’horizon lointain Luisait un faible espoir d’aurore…
Comme les jours dorés sont longs A s’endormir dans les vallées ; Les massifs d’arbres sont moins bl… D’où la clarté s’en est allée ; Mais il traîne sur les rameaux
Sonnet III. À table, l’autre jour, un réseau d… Comme un filet d’argent sur un mar… De votre sein, voilant à demi la b… Montrait, sous sa blancheur, une b…
Avril.… C’est très parisien dans les rues Quand l’Aurore fait le trottoir, De voir sortir toutes les Grues Du violon, ou de leur boudoir...
Ivre d’un parfum d’un hibiscus en… Je dessinais les contours d’un rêv… L’imaginaire secret d’une de mes n… Un éclair gravé sur une feuille de… Sur la table des songes, mes pensé…