Amour, tu es trop fort, trop foibl… Pour soustenir le camp d’un si rud… Va, badine Raison, tu te laisses… Dez le premier assaut on te meine… Je veux, pour secourir mon chef de…
Le Chat et le Renard, comme beaux… S’en allaient en pèlerinage. C’étaient deux vrais Tartufes, de… Deux francs Patte-pelus qui des f… Croquant mainte volaille, escroqua…
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…
LA MÈRE. Canari, Doux chéri, Chante un peu moins fort, Sur ta gaîté fais quelque effort.
De Thalie, Plus jolie, Quand Mars enchante les jeux, Cette Muse Qui s’amuse
FRAGMENTS D’UNE ODE AU ROI HENRI… 1596. Soit que, de tes lauriers la grand… D’un cœur où l’ire juste et la glo…
Oh ! ce bonheur Si rare et si frêle parfois Qu’il nous fait peur. Nous avons beau taire nos voix Et nous faire comme une tente,
(Plaintes sur les rigueurs.) 1671. Amour, que t’ai-je fait ? dis-moi… D’où vient que je te sers tous les… Qui t’oblige à m’offrir encor de n…
Les portes du jour sont ouvertes, Le soleil peint le ciel de rayons… Loin de nous cette nuit dont nos â… Dans le chemin du crime ont erré s… Imitons la lumière pure
L’Aigle donnait la chasse à maîtr… Qui droit à son terrier s’enfuyait… Le trou de l’Escarbot se rencontr… Je laisse à penser si ce gîte Etait sûr ; mais ou mieux ? Jean…
Ô la plus douce et la meilleure de… Autour du cou deux bras enlacés si… Premier mot du désir, premier rêve… Et premier abandon de toutes les m… Puis vaincus et jetés parmi le flo…
DIX fois qu’on attaque là-dedans,… Il faut y aller une fois de plus ?… Une cigarette d’abord. Un coup de… Y en a trop sur leurs jambes encor… À la tienne, vieux frère ! Qu’est-…
Ta beauté me fait perdre la mémoir… Toi et tes cheveux de miel m’ensor… Tu restes dans ma tête jusqu’au so… Je suis consumé par cette étincell… Toi et tes cheveux de miel m’ensor…
xx… Après le bain, la chambrière Vous coiffe. Le peignoir ruché Tombe un peu. Vous écoutez, fière… Les madrigaux de la psyché.
Pour le Papillon et l’Âme La Grèce avait un seul nom ; Ô poètes ! je proclame Que la Grèce avait raison. L’Âme et l’insecte ont des ailes
Oh ! peindre tes cheveux du bleu d… Ta peau dorée et d’un ton tel qu’o… Une rose brûlée ! et ta chair emba… Dans les grands linges d’ange, ain… Qui font plus brun ton corps gras…
C est le journal Lacheteau . C est un article sur la colonne di… Le prince Enée .. qui avait voya… Est venu se reposer dans l immense… C était la loi des épées et des be…
Rencontré soit de bêtes feu jetant Que Jason vit, quérant la Toison… Ou transmué d’homme en bête sept a… Ainsi que fut Nabugodonosor ; Ou perte il ait et guerre aussi vi…
Il faisait jour, et la chaleur ard… Brûlait le sein de la terre béante… Et les Bergers à l’ombre des orme… Avaient ensemble amassé leurs trou… Quand j’avisais par l’épaisse feui…
Fable VIII, Livre V. « Laridon, soit dit sans reproche, C’est un sot métier que le tien, » Disait un écureuil à certain citoy… Qui de son espèce était chien
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
Savez-vous bien, Madame, à quel r… En acceptant des vers d’indiscrets… C’est une occasion de parler, et,… Je dis ce que je pense et permets… Un poète ose tout.—Si j’allais (j…
Derrière l’épaisseur lucide du car… Un paysage grêle, une miniature, Fait voir chaque détail plus petit… Et tient entre les quatre arêtes d… Ce transparent posé d’aplomb sur l…
Après le jardin de mon père . C est la demeure de ma mère . Ici .. la grande salle à manger . Et le bon feu de la cheminée . Une immense véranda .
Sonnet. Des ruisseaux un déluge a fait de… Qui roulent, pêle-mêle, écumeux, d… L’étendue, au travers des landes,… Et changeant en lacs fous les stag…
Sonnet. L’inclinaison de ce vieux saule Sur le vieil étang soucieux Que pas une brise ne frôle, A quelque chose de pieux.
le silence Seul dans une pièce je m’assied, Dois-je rire ou dois-je pleurer ? Ici règne un long silence, Je ferme les yeux et je pense.
Dans le cœur et sur le visage Tout défaut grandit avec l’âge Et devient laideur sans retour ; Le petit point noir de l’enfance, Nuage dans l’adolescence,
C est le courageux Ulysse le rusé… Mégère n as jamais été apprivoisée… Elle parle sur tout .. des paroles… Tartare .. le titan des terres br… Ulysse .. qui avait jalonné les c…