N’a-t-on pas épuisé la coupe de la… Est-il encore des noms qui n’aient… Des malheurs respectés par la foul… Et que n’ait pas frappés la verge… Est-il un citoyen, dans la France…
Hélas ! tu n’es plus une paysanne… Le mal des cités a pâli ton front, Mais tu peux aller de Paimpol à V… Les gens du pays te reconnaîtront. Car ton corps n’a point de grâces…
Fable XIII, Livre IV. A-t-on des puces, mes amis, Il faut songer à s’en défaire. Mais loin qu’il fût de cet avis, Certain barbet jadis faisait tout…
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
Avec mes vieilles mains de ton fro… J’écarte tes cheveux et je baise,… Pendant ton bref sommeil au bord d… La ferveur de tes yeux, sous tes l… Oh ! la bonne tendresse en cette f…
Source éternelle de lumière, Trinité souveraine et très simple… Le visible soleil va finir sa carr… Fais luire dans nos cœurs l’invisi… Qu’au doux concert de tes louanges
Tes yeux se posent sur mes pleurs Et mon cœur palpite vainement. Ces mots retournés à l’envoyeur S’entassent en moi difficilement. Il n’y a bientôt plus de place,
Une source descend de la roche bru… Les filles de Plomar viennent lav… Aux coups vifs des battoirs se mêl… Que fait le flot, et c’est une for… Comme devant l’autel sur la dalle…
Deux démons à leur gré partagent n… Et de son patrimoine ont chassé la… Je ne vois point de cœur qui ne le… Si vous me demandez leur état et l… J’appelle l’un, Amour ; et l’autr…
Sonnet. Nature, accomplis-tu tes œuvres au… Sans raisonnable loi ni prévoyant… Ou bien m’as-tu donné par cruelle… Des lèvres et des mains, l’ouïe et…
Si ce qu’on dit d’Esope est vrai, C’était l’Oracle de la Grèce : Lui seul avait plus de sagesse Que tout l’Aréopage. En voici pou… Une histoire des plus gentilles,
La mer bleue au-delà des sables im… Un ciel qui peint avec de brûlante… Des filles aux cils bruns, comme d… Dressant leur corps nerveux, belle… De fiers aspects, malgré les feuil…
Amie précieuse C’est aujourd’hui que je réalise c… Ce que me donne l’Éternel qui fait… Ces nombreux privilèges qu’il m’of… Toujours un oeil sur moi, il veill…
Le major est couché sur le potager… La chose passe sur les monts glori… Mes lèvres sucent le jus arrosé. Ta main caresse le gland crémeux. J ai besoin de la chaleur de ton c…
Qui la méconnaîtrait cette terre s… Si chère à la valeur, des beaux-ar… Qu’un rayon du soleil, un seul cri… Couvre soudain de fleurs, de fruit… Qui, pareille à l’épi courbé par l…
Du chef-d’œuvre toujours un cœur f… L’art, au fond, n’est qu’amour. P… Soit qu’on ait la palette en main… Il faut une âme ardente et qu’un c… Après tout, tes enfants ne sont po…
Le pauvre du chemin creux chante e… Il dit : « Mon nom est Pierre et… Et je m’appelle aussi Duchatelet. Une fois je vis, moi qu’on croit t… Passer vraiment une femme très bel…
C est le chapitre de Dimorphos . C est la rubrique sur le journal… L homme avait organisé la musique… Pour adoucir les défaites et les c… Le gros est revenu pour résoudre l…
Aux pe… Et sa bonté s’étend sur toute la n… Athalie. Cher petit oreiller, doux et chaud… Plein de plume choisie, et blanc !…
Le passage du Rhin. En vain, pour te louer, ma muse to… Vingt fois de la Hollande a tenté… Ce pays, où cent murs n’ont pu te… Grand roi, n’est pas en vers si fa…
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Les rivages à pic descendent à la… Leurs sommets, rafraîchis par un z… Portent tout un fouillis de grands… Lentisques, châtaigniers, pins ver… La nature a sculpté, le long du vi…
Jeune Mars, à qui les alarmes Sont des plaisirs délicieux, Puissent tes belliqueuses armes Étonner la terre et les cieux ! Que la postérité ravie
A tous les hommes que j’ai aimé, Ne vous faites pas d’illusions Il n’a jamais été question de vous Je n’ai aimé que vos manières, vos… Que pour la simple raison que je n…
Blokusine est ton gris sans chemin de traverse Des panneaux qu’on écorce de bois et vitres sur la mer Jetée en veux-tu des mâts
Sonnet. Octobre est doux.—L’hiver pèlerin… Au ciel où la dernière hirondelle… Rêvons... le feu s’allume et la bi… Rêvons... le feu s’endort sous sa…
À mon ami Antoni D****. Après la moisson faite et tous les… Quand depuis plus d’un mois les ch… Qu’il gèlera demain, et qu’une foi… L’Automne, du plus haut des cotea…
Seigneur, Seigneur ! Se peut-il q… Quittez enfin cette étroite demeur… Venez à nous ! Christ, Fils de Dieu, né du sein… Qu’attend le ciel, que la terre ré…
Saint est l’homme au sortir du bap… Petit enfant humble et ne tétant p… Et si pur alors qu’il est la puret… Saint est l’homme après l’Euchari… La chair de Jésus a sa chair inve…
Sonnet XXXV. La nef qui longuement a voyagé, D… Dedans le sein du port à la fin on… Et le boeuf, qui longtemps a renve… Le bouvier à la fin lui ôte le col…