Sonnet. 1608. Voyant ma Caliste si belle, Que l’on n’y peut rien désirer, Je ne me pouvais figurer
Ils sont fiers ceux-là !... comme… C’est à la don-juan qu’ils vous fo… Ils ne sentent pas bon, mais ils f… Valeureux vauriens, crétins cheval… Prenant sans demander – toujours s…
Les poules philosophent sous l’auv… le renard fuit vers son gîte, l’eau clapote au bassin et nous ac… bonjour ! Une chapelle dans la plaine lance…
En tes yeux nage une factice opale… Et le charbon t’allonge les sourci… Mais ton regard sans douceur n’est… Sous tes gros cils de sépia noirci… Ah ! Pauvre femme, il règne un fr…
J’ai dans mon coeur, dont tout voi… Deux bancs d’ivoire, une table en… Où sont assis, tenant chacun leur… Ton faux amour et mon amour loyal. J’ai dans mon coeur, dans mon coeu…
Nous n’irons plus au bois, les viv… Prud’homme déclarait immorale et c… Ma longue extase aux pieds d’une m… Dont la grâce tenait tous mes jour… Tu n’iras plus au Bois, sinon dan…
Proscrit, errant, sans foyer, sans… Cet enfant nouveau né d’une épouse… Même en nous consolant ajoutait à… Mais des infortunés la généreuse a… Lui daigne ouvrir ses bras et son…
C’est une fois arrivé, qu’une mura… Dans son sens tourne la Terre, ma… Je ne souhaite que verdir, mettre… Ce soir je l’ai comblé, ainsi que… Je me suis transformé, j’ai des po…
Je veux vivre seul avec toi Les jours de la vie âpre et douce, Dans l’assurance de la Foi, Jusqu’à la suprême secousse. Je me suis fait une raison
Le ciel profond reflète en étoiles… Car nous pleurons, ce soir, de nou… La brume est chaude, la plus blanc… La chair baigne en un lac balsamiq… Nocturne ajoute à la confusion des…
Il est évident que je trouve un re…
Pour la France et la république, En Navarre nous nous battions. Là parfois la balle est oblique ; Tous les rocs sont des bastions. Notre chef, une barbe grise,
Je voulais lire le petit prince Car pour ton sourire j’en pince Attention je ne parle pas d’amour Mais d’une douceur comme le velour… Une politesse, un corps magnifique
Encore un peu ta bouche en pleurs,… Tes mains contre mon cœur et ta vo… Demeure ainsi longtemps, délicieus… Auprès de moi, ma pauvre enfant, c… Les formes du jardin se fondent da…
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Si je n’étais pas assez bon, Vois-tu, tu devais me le dire. J’ai l’habitude du pardon Comme toi celle du sourire. L’amant a dans son cœur le ciel :
Notre chère Sam part, elle vole v… Un horizon en place, mais bientôt… Cette ville bancale, où trône un m… L’intellect national, caché par du… Elle nous manquera pas, juste que…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
Dans la forêt mouillée et verte, Comme deux rudes compagnons, Nous allions à la découverte Cueillir au loin des champignons. Nous n’y connaissions pas grand ch…
C’est une enfant Elle a mal C’est un déchirement C’est anormal Ca ne se voit pas
Et qu’importe d’où sont venus ceux… S’ils entendent toujours un cri pr… Au carrefour des doutes ! Mon corps est lourd, mon corps est… Je veux rester, je ne peux pas ;
Je vous prends à témoin entre tous… Vous qui m’avez connu dès l’extrêm… Que je fus digne d’elle, à Dieu s… Sans criard désespoir ni jactance… Simple dans mon mépris pour des re…
Contrerime LX. Pour une dame imaginaire Aux yeux couleur du temps, J’ai rimé longtemps, bien longtemp… J’en étais poitrinaire.
Depuis combien de temps Vois-tu le monde ainsi ? Depuis combien de temps Es-tu si assombri ? Je ne permettrai pas
Face à face, sous la pénombre, le… Depuis neuf jours, il est parti ;… dans le vide impossible de leurs â… ils vainquent la peur —que le ritu… Là où il gît, dans les entrailles…
Au vent joyeux de la bonne nouvell… L’étable s’ouvre ; et sa merveille… Que les naïfs bergers en sont trou… Illuminant la crèche sombre encore… L’Enfant paraît en un orbe d’auro…
Le monde est tapissé de blanc ce matin et la ville est silencieuse. Le printemps est mis sous cloche et mes rêves se taisent. Comme toi. Chaque silence a sa mélodie et le tien est comme...
Épigramme. Quels sorciers ont dansé sur ton c… Que le poil n’y croît point ? Aur… Réponse. Un fameux cabaret n’a que faire d’…
Chansons, chansons, chansons, chan… Des larmes avec des baisers... Puis vient l’automne et nous passo… L’herbe des champs a bien passé. J’ai pleuré comme font les autres
Par crainte, erreur ou poésie Nous compliquons tout à plaisir ; Les éclairs de la jalousie, Les prismes de la fantaisie Font tout mal voir et mal saisir :