Se souvenir des rêves, devenir imm… La beauté de la pluie, apprécier c… Nous ne sommes que des hommes, nou… toutes celles qui nous entourent,… Nous n’voulons être heureux, seule…
Pour moi, je vois encore des jouis… Dans ce bonheur humain que l’on dé… Il est encore pour nous d’innocent… Des plaisirs sans remords, et pour… J’ai pour mon avenir plus d’un esp…
L’homme d’aujourd’hui Qu’est donc devenu la vie de l’hom… Dans un langage muet une angoisse… Qu’a-t-il fait de sa joie maintena… S’enfermerait-il dans une tristess…
Plus l’esprit croît en étendue, Plus, menacé dans son ardeur De quelque chute inattendue, Il a besoin de profondeur. Qui s’épand, risque davantage
Un monde corrompu Dans sa bonté infinie, encore et t… Dieu observe l’homme, l’objet de s… L’homme qu’il a créé dont il reçoi… Sur un terre malmenée où il sème l…
Prendre une bouffée d’air frais, v… Regarder le soleil, en soi l’éveil… Une ogive nucléaire, coincé dans l… Fin de journée à terre, en soi une… Celle de notre être chère, éclaton…
Dites, les gens, les vieilles gens… Que s’exaltent les coeurs dans vos… Dites, les gens, les vieilles gens… Que la clarté s’éveille en vos car… Qui regardent la route,
Contrerime LIX. Dessous la courtine mouillée Du matin soucieux, Tu balances, harmonieux, Ta branche dépouillée,
Potimarron, Quand je t’ai aperçu, tu étais seu… Délaissé d’intérêt, en attendant l… Tu as cru jusque là, profiter d’ha… Ressembler à tes sœurs, de trois f…
Le DIX huit .. combien de gamins… Pour aller se battent sur les cont… Combien d hommes sur les dunes de… Combien de soldats ont traversés… Le destin du monde .. gagnés par…
Il a parlé. Prévoyante ou légère, Sa voix cruelle et qui m’était si… A dit ces mots qui m’atteignaient… « Vous qui savez aimer, ne m’aimez… « Ne m’aimez pas si vous êtes sens…
Dès que la nuit sur nos demeures Planera plus obscurément ; Dès que sur l’airain gémissant Le marteau frappera douze heures ; Sur les pas du fidèle Amour,
Hyménée, ô joie, hymen, hyménée ! La nuit de mon cœur s’est illuminé… Et ce fut d’abord, d’abord en mon… Des hymnes confus qui chantaient e… Ils chantaient la vie et l’amour d…
En moi s’est réveillé, le démon de… Celui toujours à l’heure, pour te… Un rythme quotidien, l’oubli du le… Bat toi pour ce que t’as, bâti ta… Construit ton bataillon, avant de…
Je ne sais pas si je préférais la braise de ses tempes ou les flammes de sa tignasse qui brûlaient tout en montant en haut de sa tête de Méduse masculine purement enchantée. Les chenets...
La mélodie nous lâche, dans le dés… A nous de faire face, au plus gran… Celui qui nous oblige, à devenir c… Qui saute chaque périple, à l’inst… Je n’ai pas aperçu, celui qui s’év…
Je remercie l’air pour remplir mes poumons, en laissant le corps dans la calme absolue ; Je remercie le cœur
C’est la bonne heure où la lampe s… Tout est si calme et consolant, ce… Et le silence est tel, que l’on en… Des plumes. C’est la bonne heure où, doucement…
Vous souvient-il, cocodette un peu… Qui gobergez vos flemmes de bourge… Du temps joli quand, gamine un peu… Tu m’écoutais, blanc-bec fou qui d… Gardâtes-vous fidèle la mémoire,
Je voudrais posséder pour dire tes… Le plain-chant triomphal des vague… Ou les poumons géants des vents in… Je voudrais dominer les lourds éch… Qui jettent, dans la nuit des paro…
Une première impression Peut définir l’avenir Et il suffit d’un sourire Pour une relation établir Un sourire naturel
En Décembre, au concert, souvenir… J’entendis, comment rendre un pare… La douleur ineffable et gronder et… D’un grand maître germain c’était… La vie intérieure, avec ses grands…
Ni tout noirs, ni tout verts, coul… D’espérances jamais en fleur, Les ifs balancent des colombes, Et cela réjouit les tombes. Elles éclatent, dans les ifs,
Ame meurtrie, âme peinée, je pleure ma douleur. Douleur de n’avoir su te convaincre, Douleur de pas pouvoir t’emmener sur les chemins de l’autonomie et de l’accomplissement de toi. T’ép...
C’est une fois arrivé, qu’une mura… Dans son sens tourne la Terre, ma… Je ne souhaite que verdir, mettre… Ce soir je l’ai comblé, ainsi que… Je me suis transformé, j’ai des po…
Il n’est plus, il n’est plus ! Ô Dieu, tu le voulus : Courbons-nous vers la terre. Il n’est plus, et nos yeux Ne reverront qu’aux cieux
Elle as vécue au pied des corons… S était le temps du charbon . Un matin .. elle est partie sur V… Avec une seule valise . Puis .. elle s est occupée des vie…
Je ne peux Amie, ô mon amie t’aimais-je un jo… Toi que j’aurais voulu aimer pour… Te serrer intensément dans mes bra… Aujourd’hui je me rend compte que…
Puis Stéphy est partie, dans la n… Elle a roulé aux vents, sans son t… Je pense qu’elle l’a eu, j’espère,… Je l’aurais hébergé, c’est bizarre… Mais je vais m’acharner, savoir qu…
L’Arrhée parle. Ces croupes que fouaille Un vent forcené, Ce sont les Mené De la Cornouaille.