Contraint de renoncer à la chevale… Don Quichotte voulut, pour se déd… Mener une plus douce vie, Et choisit l’état de berger. Le voilà donc qui prend panetière…
Nos yeux se sont croisés, mon coeu… Mes mains t’ont effleuré, chaque s… Un instant de satin, que mon espri… Traîna jusqu’au matin, déployant m… Quelle abomination, que manipulati…
Sonnet. Il est donc vrai ! la terre est si… Comment elle a trouvé son solide c… Le vaporeux chaos, sa lutte avec l… L’universelle mer, le sol herbeux…
Je n’ai pas toujours été comme ça À éviter le regard des gens Mon reflet est parti en éclats Seul pourra le réparer le temps Est-ce qu’un jour je sortirai de l…
Le ciel est calme et pur, la terre… Elle offre avec orgueil au soleil… L’essaim tourbillonnant de ses enf… Dans les parvis sacrés, la foule s… Ô vous.... qui vous aimez et qui r…
Je te vis dans un rêve après un tr… Tu marchais dans les plis pesants… D’une robe en velours d’un plus cé… Que celui des glaciers ou des flot… Quand vers l’orient clair jaillit…
À Ernest Chesneau. J’aime à suivre le bord des petite… Qui cheminent sans bruit dans les… À leur fil d’argent clair viennent… Et tournoyer le vol des jaunes lav…
J’ai reparu sur la colline Dans un nuage aux franges d’or, Je suis la beauté qui décline ; Mais, à mes charmes, on devine Que les cœurs me suivent encore !
Quand la blanche cigogne, à traver… Frappant à larges coups d’air de s… Le col tendu, ses pieds roses pend… Vole vers les climats d’or, d’azur… Emportée à son rêve, et buvant dan…
Je connais, Madame, un bonhomme Qui serait bien mal à la Cour. Je ne sais comment il se nomme, Sa femme n’est pas laide, en somme… Non..., elle est très digne d’amou…
Le gai chevreau bondit et se suspe… Aux longs rameaux du cytise ou du… Capricieux, sur les cimes grimpant… Il court aux fleurs, aux feuillage… Rêvant la lutte en ses joyeux ébat…
N’a-t-on pas épuisé la coupe de la… Est-il encore des noms qui n’aient… Des malheurs respectés par la foul… Et que n’ait pas frappés la verge… Est-il un citoyen, dans la France…
Trio charmant que je remarque Entre ceux qui font mon appui, Trio par qui Laure aujourd’hui Revient de la fatale barque ; Vous qui pensez mieux que Pétrarq…
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
Gabriel Aujourdh’ui une grâce m’a été acco… Une présence sublime que Dieu nou… Énième preuve de son amour incondi… Un bonheur absolu que nous offre l…
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
On les voit s’en venir en bandes, À la prime aube, tout le long, Le long des palus et des landes, Glissant de-ci, de-là, selon Leur humeur folâtre et changeante.
Sonnet XLII. Ce rusé Calabrais tout vice, quel… Chatouille à son ami, sans épargne… Et faisant rire ceux que même il é… Se joue autour du cœur de cil qui…
Voici la mort dans son faste lourd… Un corps de plus qu’il faut englou… Et la coutume, avant d’en finir, Veut qu’on le traîne insensible et… Vers l’ouragan des notes funèbres
Le vent trop fort ferme ma porte Emporte mon chapeau comme une feui… Tout a disparu dans la poussière Qui sait ce qu’il y a par derrière Un homme court sur l’horizon
Puisque de Sisteron à Nantes, Au cabaret, tout français chante, Puisque je suis ton échanson, Je veux, ô Française charmante, Te fredonner une chanson ;
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Je déteste ce silence qui m’agripp… je verrouille ma porte, dans l’obscurité de cette nuit san… le froid s’installe, j’ai besoin de passion pour me réc…
Amours des bas-reliefs, ô Nymphes… Qui, sur l’Ida nocturne, au bruit… Les fronts échevelés en tresses pr… Dansiez en agitant vos crotales d’… Vous, plus belles déjà que ces fil…
Quand l’homme approche enfin des s… Va plonger dans votre ombre inerte… Debout sur la hauteur aveuglément… Les premiers jours vécus éblouisse… Tandis que la nuit monte et débord…
Qui a toutes ses hontes beues, Il ne lui chault que l’en lui die, Il laisse passer mocquerie Devant ses yeulx, comme les nues. S’on le hue par my les rues,
De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus soluble dans l’… Sans rien en lui qui pèse ou qui p… Il faut aussi que tu n’ailles poin…
Vite me quittant pour Elle, Le jeune enfant qu’elle appelle Proche son sein se plaça. Elle prit sa tête blonde, Serra sa bouchette ronde,
On carguait lentement les lourdes… Qui poussaient le vaisseau sous le… Et l’Occident brisait ses flèches… Sur leurs rondeurs s’offrant comme… Derrière nous l’effroi de l’infini…
Sonnet. Maître, qui du grand art levant le… Pour consoler la chair besoigneuse… Redis la gloire antique à cette ex… Ton corps va donc subir l’outrage…