À Édouard Manet. Le vent, tiède éclaireur de l’assa… Soulève un brouillard vert de bour… La pluie et le soleil, le calme et… Les bois noirs sur le ciel, la nei…
Emporte moi jusqu’au noir Dont toute lumière s’échappe Jusqu’à tes pupilles funestes Nid de ma rancune Je m’endors sous l’ombre
Le même triste accent vient toujou… Toujours les mêmes flots font le m… En recueillant le rêve et l’espoir… Je l’ai senti déjà le vent de cett… Il conserva mes paroles et les rép…
Avant que mon adieu salue avec tri… Paris, ce beau Paris qui fut l’hu… Et que j’aille revoir les fortunés… Où Marseille au rivage aligne tan… Laisse-moi rafraîchir, ami, dans t…
En face de mon œil la corne du cro… Au bout d’un plus long bras Que toutes les fenêtres s’éclairen… Que la lune frappe plus fort aux v… Que les plaques de plâtre avec les…
Le temps n’a point pâli ta souvera… Telle qu’un jour d’été, jadis, tu… Debout, battant du linge au bord d… Je te revois, fille aux bras nus. C’est dans une prairie où la chale…
Je porte un nom assez... bizarre, Tu diras : « Ton cas n’est pas ra… Oh !... je ne pose pas pour ça, Du tout... mais... permettez, Mad… Je découvre en son anagramme :
Sonnet XLIV. Si pour avoir passé sans crime sa… Si pour n’avoir d’usure enrichi sa… Si pour n’avoir commis homicide ou… Si pour n’avoir usé de mauvaise fi…
Oh ! redis-les encor ces paroles d… Rends-nous ces flots si purs qui s… Rends-nous l’écho lointain de ces… Que le chrétien ne doit entendre q… Hélas ! qui t’a si jeune enseigné…
Sonnet. Octobre est doux.—L’hiver pèlerin… Au ciel où la dernière hirondelle… Rêvons... le feu s’allume et la bi… Rêvons... le feu s’endort sous sa…
Pour toujours Malgré ces ami qui me sont venus, Ce soir mon coeur reste un peu per… Dans la mélancolie et la solitude, Oh, cela commence à devenir une ha…
Aujourd’hui en pleine nuit, tituba… je m’aperçois qu’enfant, caressant… je volais dans un sens, où arrivai… Chaque seconde était maître, d’éme… en haut de nos sourcils. Dos droit…
Le cortège léger glisse aux plaine… Une rose lueur teinte le flot chan… C’est la jeune Amphitrite, en sa… Qui passe sur la mer avec ses Nér… L’archipel a surgi vers les lointa…
Assis au bord de Seine, j’vois s’… Attendant ma superbe, tout ça en p… Pour ce moment de rêve, j’attendra… Regarde moi sourire, n’attendant q… C’est l’espoir qui fait vivre, ape…
Cette vieille cloche d’église Qu’une gloire en larmes encor Blasonne, brode et fleurdelise, Rutile à nos yeux comme l’or. On lit le nom de la marraine,
Pour couronner la blonde enfant au… De toutes la plus chaste ensemble… Car sa gorge orgueilleuse a pour h… Que l’azur du bleuet au fauve épi… Quand le ciel d’août torride accab…
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Le soleil était pâle ; une mer ond… Enflait à gros flocons son écume b… Et se brisait contre un rocher ; Une île, au sein des flots, s’élev… Et sur ses bords déserts, d’où le…
Partout je les évoque et partout j… Ces yeux ensorceleurs si mortellem… Oh ! comme ils défiaient tout l’ar… Eux qui mimaient sans geste et qui… Yeux lascifs, et pourtant si noyés…
Bien loin est un monde trépât Car bien triste est l’Univers san… Bien triste est l’âme qui jamais n… Ô lune, invisible ou toi que je vo… Malheureuse est la Terre sans Sol…
L’éternelle joie de vivre, sourire… Se divertir de pluie, que rire à l… Temps de mélancolie, un siècle de… Minute de mélodie, courbe en oscil… Notre meilleur souvenir, en mille…
Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de me rendr’ compte
À la porte d’un beau château Bâti pendant la Renaissance, Une dame au riche manteau, Les cheveux baignés d’une essence Divine, rit au vert coteau.
Mon bon ami, poète aux longs cheve… Joueur de flûte à l’humeur vagabon… Pour l’an qui vient je t’adresse m… Enivre-toi, dans une paix profonde… Du vin sanglant et de la beauté bl…
Tout seul au plus profond d’un boi… Dans un fouillis de ronce et d’her… Se dresse, oublié, mais superbe, Un grand vase du temps des rois. Beau de matière et pur de ligne,
Des larges prés ayant le flot bleu… Jetés dans les wagons monstrueux e… Les bœufs, souffrant de l’air qui… Ont roidi leurs jarrets une nuit t… Ils entrent dans Paris par l’anci…
Cache-moi ton regard plein d’âme e… Dont la langueur brûlante affaibli… De l’amour qu’il révèle il m’appre… Pour les infortunés son charme est… Lèves-tu sur mes yeux ta paupière…
De vous le dire je m’empresse... Oh ! la fâcheuse inversion ! D’ailleurs la seule qui paraisse Être échappée à ma paresse, Au cours de cette édition.
Liberté menacée À l’heure où tout est tranquille,… Où l’on croit qu’un paradis terres… Lentement, à pas feutrés, avance u… Un spectre malin, déterminé, plein…
Allons-y chers aventuriers À la découverte du monde À la conquête de votre curiosité Pour se mêler à la différence. Des langues