Vieux Temple, antique honneur de… Où Clovis inclina sa tête martial… Et sentit, sous la main du pontife… L’onde sainte mouiller son front r… N’as-tu pas vu, du sein de ta froi…
Synopsis : poème d’amour romantiqu… Je suis ange de terreur, morcelé d’amours perdus. Un baisé qui sans saveur pour des lèvres s’est vendu
Pendant que ce mois renouvelle D’une course perpétuelle La vieillesse et le tour des ans : Pendant que la tendre jeunesse Du ciel remet en allégresse
Aux confins d’un plateau qui fleur… S’élève une montagne, étrange de s… Dont les flancs, inclinés et taill… Présentent mille creux béants de t… Gomme un entassement de décombres…
La Justice tardant à faire la lev… Du cadavre lardé de coups, Les gendarmes, là-bas, mangent sur… En attendant son arrivée. L’énorme assassiné que la vermine…
Ce mort qui vient là-bas fut un pr… Qui lui fit dans sa vie autant de… Donc, le voilà debout, travail int… Pour voir son ennemi qu’enfin on p… Regardant s’avancer la bière, il r…
Le brouillard c’est tes yeux mais… alors ? Je voudrais bien dormir mais on ti… Une rumeur monte des faubourgs com… Ta poudre de riz séduira les fosso…
Nature féconde en merveilles, Nature, mère des humains, Qui nous allaites, qui nous veille… Et qui nous berces de tes mains, À mes pieds effeuille une rose,
Sonnet. Ce bon vieux pont, sous ses trois… En a déjà bien vu de l’eau Passer verte avec du galop Ou du rampement dans sa marche.
Il fallait la laisser, solitaire e… S’abreuver de prière et d’indigent… Si peu lui semblait tout ; misère… Sédentaire à l’église et bornée à… Il fallait la laisser au long trav…
0 envies 2000 pensées 10000 émotions quand la vie devient fade et grote… et que mon œil se tourne vers l’ho…
Viens. Sur tes cheveux noirs jett… Avant l’heure du bruit, l’heure où… Allons voir le matin se lever sur… Et cueillir par les prés les fleur… Sur les bords de la source aux moi…
Sonnet. Je suis encombré des amours perdue… Je suis effaré des amours offertes… Vous voici pointer, jeunes feuille… Il faut vous payer, noces qui sont…
Oui, pour le moins, laissez-moi, j… Pleurer tout bas ; si jamais, inhu… J’osais vous peindre avec de vrais… Le feu caché qu’en mes veines je s… Vous gémiriez, cruelle, de ma pein…
Je veux chanter ma ballade à mon t… Ô Poésie, ô ma mère mourante, Comme tes fils t’aimaient d’un gra… Dans ce Paris, en l’an mil huit c… Pour eux les docks, l’autrichien,…
Est-il bien vrai qu’au séjour des… De si brillantes fleurs sous vos m… L’esprit fait les climats, l’espri… Dans nos jardins vous répandez des… Brillant comme l’été, doux comme l…
VIII. Ô Dieu, puisque voilà ce qu’a fait… Puisque, comme une porte est barré… Elle est sourde à l’honneur, Puisque tous ces soldats rampent s…
L’ambre est de la sueur figée de g… issu de leurs temples rouges, cogn… incendié de myrrhe et de branches… puis oublié de tous dans des bois… Il serait donc une salamandre d’ef…
Octobre à son manteau d’azur fourr… Arbore ce matin les joyaux de l’hi… Le ruisseau fume, un fin brouillar… Le jardin blanc miroite au soleil,… Et chatoie et ses fils de perles s…
Parmi châtaigniers et genêts Où s’émouchaient, sans pouvoir paî… Des montures sous le harnais, Ronflait l’humble fête champêtre. Les crincrins et les cornemuses,
Au fond de la chambre élégante Que parfuma son frôlement, Seule, immobile, elle dégante Ses longues mains, indolemment. Les globes chauds et mâts des lamp…
La jeune fille : Beau papillon qui viens à ma fenêt… Te réjouir sur le sein de mes fleu… Petit coquet, tu les trahis peut-ê… Car à chaque aube on les voit tout…
Souvent il m’apparut sous la forme… Dont les ailes s’ouvraient, Remontant de la terre au ciel où r… Et j’ai vu s’abaisser, pleins d’un… Ses bras qui m’attiraient.
Nous sommes les vagues profondes Où les yeux plongent vainement ; Nous sommes les flots et les ondes Qui déroulent autour des mondes Leur manteau d’azur écumant !
Enfant blonde aux doux yeux, ô ros… Qu’un jour j’ai rencontrée aux bor… Cygne pur émigré de ton climat de… Je t’ai vue et je t’aime ainsi qu’… Je t’aime et suis heureux comme si…
À Madame Cousinery. Lorsque, portant sa croix, Jésus… Traîné sur le Calvaire, en gravis… Trébuchant dans sa robe écarlate,… Sur la route pierreuse... Elle ét…
Chanson. On entend au loin la chanson des m… Ô ménétrier ! prends ton violon. Les gais rossignols égrènent des p… Quel beau soir ! Dansez, filles d…
Le salon s’ouvre sur le parc Où les grands arbres, d’un vert so… Unissent leurs rameaux en arc Sur les gazons qu’ils baignent d’o… Si je me retourne soudain
Quel chagrin obscurcit tes yeux ? Qu’as-tu, ma chère Léonore, Toi qu’une souris si gracieuse Naguère embellissait encore ? Un amour tendre et malheureux
Mon bon ami, poète aux longs cheve… Joueur de flûte à l’humeur vagabon… Pour l’an qui vient je t’adresse m… Enivre-toi, dans une paix profonde… Du vin sanglant et de la beauté bl…