C’est un âne qui dort Enfants, regardez-le dormir Ne le réveillez pas Ne lui faites pas de blagues Quand il ne dort pas, il est très…
Ce ne seront jamais ces beautés de… Produits avariés, nés d’un siècle… Ces pieds à brodequins, ces doigts… Qui sauront satisfaire un coeur co… Je laisse à Gavarni, poète des ch…
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
Une terre fertile Une lune bonne enfant Une mer hospitalière Un soleil souriant Au fil de l’eau
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
Par la surprise saisie, Une bouche qui buvait Au sein de la Poésie En sépare son duvet : –Ô ma mère Intelligence,
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
mais le bruit continue son terrible et calme petit bruit mais la rue reste muette comme une lanterne sourde déchirent la nuit et le soleil aussi se lève pâle comme les gens qui n’ont pa...
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
Dans un petit bateau Une petite dame Un petit matelot Tient les petites rames Ils s’en vont voyager
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
Comme par miracle Des oranges aux branches d’un oran… Comme par miracle Un homme s’avance Mettant comme par miracle
Qui donc a baissé cet épouvantable rideau de poussière et de fer sur cette rue cette rue autrefois si heureuse et si fière d’être rue comme une fille heureuse et fière d’être nue. Pauvr...
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! l… Le poème éternel !—La Bible ?—No… Platon, tous les matins, quand rev… Lisait les vers d’Homère, et moi… J’épelle les buissons, les brins d…
C’était dans un quartier de la vil… Lumière Où il fait toujours noir où il n’y… Et l’hiver comme l’été là c’est to… Elle était dans l’escalier
Un très vieux perroquet vint lui porter ses graines de tou… et le soleil entra dans sa prison…
Vous avez empoigné les cries de la… Avec un tel poignet, qu’on vous eû… Et cet air de maîtrise et ce beau… Pour un jeune ruffian terrassant s… L’oeil clair et plein du feu de la…
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…
Dans une terre grasse et pleine d’… Je veux creuser moi-même une fosse… Où je puisse à loisir étaler mes v… Et dormir dans l’oubli comme un re… Je hais les testaments et je hais…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Où vas-tu mon enfant avec ces fleu… Sous la pluie Il pleut il mouille Aujourd’hui c’est la fête à la gre… Et la grenouille
Quand ce soir tu t’endormiras Loin de moi, pour ta triste nuit, En songe pose sur mon bras Ton beau col alourdi d’ennui. Jette vers moi ce qui t’encombre,
Ma petite lionne Je n’aimais pas que tu me griffes et je t’ai livrée aux chrétiens Pourtant je t’aimais bien Je voudrais que tu me pardonnes
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Lorsque avec un bon sourire dans le métropolitain poliment vous nous demandiez deux points ouvrez les guillemets vous les avez laissés glisser dans la boue tricolore En arrière grand-pè...