Sur une assiette bien ronde en por… une pomme pose Face à face avec elle un peintre de la réalité essaie vainement de peindre
Les Sirènes chantaient... Là-bas,… Une harpe d’amour soupirait, infin… Les flots voluptueux ruisselaient… Et des larmes montaient aux yeux d… Les Sirènes chantaient... Là-bas,…
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue
Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
La batteuse est arrivée la batteus… Ils ont battu le tambour ils ont battu les tapis ils ont tordu le linge ils l’ont pendu
Tout jeune Napoléon était très ma… et officier d’artillerie plus tard il devint empereur alors il prit du ventre et beaucou… et le jour où il mourut il avait e…
Une terre fertile Une lune bonne enfant Une mer hospitalière Un soleil souriant Au fil de l’eau
Tout rayonne, tout luit, tout aime… Les oiseaux semblent d’air et de l… L’âme dans l’infini croit voir un… À quoi bon exiler, rois ? à quoi b… Proscrivez-vous l’été ? m’exilez-v…
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
Nous avons pensé des choses pures Côte à côte, le long des chemins, Nous nous sommes tenus par les mai… Sans dire... parmi les fleurs obsc… Nous marchions comme des fiancés
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
Comme c’est beau ce qu’on peut voir comme ça à travers le sable à travers le ve… à travers les carreaux tenez regardez par exemple
Souvent, pour s’amuser, les hommes… Prennent des albatros, vastes oise… Qui suivent, indolents compagnons… Le navire glissant sur les gouffre… À peine les ont-ils déposés sur le…
Mais la lumière revient Le plaisir de fumer L’araignée-fée de la cendre à poin… N’est jamais contente de ses maiso… Mozart
L’homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et rich… Qu’il faut qu’il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose,
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Au poète impeccable Au parfait magicien ès lettres fra… A mon très-cher et très-vénéré Maître et ami Théophile Gautier
Cet amour Si violent Si fragile Si tendre Si désespéré
Dans un petit bateau Une petite dame Un petit matelot Tient les petites rames Ils s’en vont voyager
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Les bêtes qui descendent des faubo… Les oiseaux qui secouent leurs plu… Les terribles ciels jaunes, les nu… Ont, en toute saison, fêté cette s… Elle est belle, statue vivante de…
Dans les montagnes de Cachemire Vit le sultan de Salamandragore Le jour il fait tuer un tas de mon… Et quand vient le soir il s’endort Mais dans ses cauchemars les morts…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Pas vu la comète Pas vu la belle étoile Pas vu tout ça Pas vu la mer en flacon Pas vu la montagne à l’envers
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…
Elle naît au déclin de l’automne Elle vit en rêve tout un hiver Elle s’éveille en sursaut au print… Elle aime, elle aime en plein été Elle sème des souvenirs en automne
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
Bierstube Magie allemande Et douces comme un lait d’amandes Mina Linda lèvres gourmandes Qui tant souhaitent d’être crues A fredonner tout bas s’obstinent