Enfant blonde aux doux yeux, ô ros… Qu’un jour j’ai rencontrée aux bor… Cygne pur émigré de ton climat de… Je t’ai vue et je t’aime ainsi qu’… Je t’aime et suis heureux comme si…
Dans la forêt mouillée et verte, Comme deux rudes compagnons, Nous allions à la découverte Cueillir au loin des champignons. Nous n’y connaissions pas grand ch…
J’ai ceint mes reins, j’ai pris le… Car mon âme souvent n’est qu’une p… Et je vais, demandant sans trêve u… En tous lieux où l’on trouve une r… Or, hier, j’ai gravi l’escarpement…
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
L’enfant divin A l’aube d’une journée pleine de g… Petits et grand espèrent le lever… Pour s’offrir comme chaque année d… Pour partager ce grand amour venu…
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Viens-t’en nous aimer ailleurs, N’importe où, mais loin des villes… Viens-t’en sous des deux meilleurs… Ici les âmes sont viles, Ici le vent est chargé
IL semblait grelotter, car la bis… C’était, sous un amas de rameaux s… Une pauvre statue, au dos noir, au… Un vieux faune isolé dans le vieux… Qui, de son front penché touchant…
En avant le destin, allons vers l… Devant est notre chemin, au loin e… Nombreux seront les freins, seul m… m’offrira le divin, ouvrant le por… Mais le doute me dépeint, une fres…
Madame, il est donc vrai, vous n’a… Vous n’avez pas voulu comprendre m… Votre voix m’a glacé d’une parole… Et vos regards distraits dans mes… Madame, il m’est cruel de vous avo…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Aucun mot n’aurait mieux pu, sans… Il le dit et tous ceux qui attenda… Il y avait au centre un grand nuag… Il n’y avait rien pourtant et dans… Un train passa derrière la barrièr…
Ivre d’un parfum d’un hibiscus en… Je dessinais les contours d’un rêv… L’imaginaire secret d’une de mes n… Un éclair gravé sur une feuille de… Sur la table des songes, mes pensé…
À Madame de Staël. Au sein de Parthénope as-tu goûté… Dans le tombeau du monde apprenons… Sur cette terre en vain, splendide… Le même astre immortel règne sans…
Quelle soirée ! ô dieu ! que j’ai… Dans un trouble charmant je suivai… Elle enchantait pour moi les apprê… Et je devais y pleurer ton absence… Dans la foule cent fois j’ai cru t…
Hélas ! devant le noir feuillage d… J’ai le cœur tout glacé dans ma ro… Et par mes yeux, troués d’ulcères… La pluie en gémissant pleure sur m… Entre mes pieds, jadis plus blancs…
À Ernest Chesneau. J’aime à suivre le bord des petite… Qui cheminent sans bruit dans les… À leur fil d’argent clair viennent… Et tournoyer le vol des jaunes lav…
Lorsque je pense à l’amour, Je voudrais penser à ma main cares… Lorsque je pense à l’amour, Je voudrais me souvenir de nos bal… Lorsque je pense à l’amour,
Sitôt que j’eus le franc usage de… Je le mis en des mains qui s’ouvra… C’étaient de douces mains, si bell… Dont le toucher était délicieux et… Heureux et frémissant de les senti…
Tu t’es approchée près de moi Et j’ai marché dans tes doux pas, M’entraînant vers ces lieues, là-b… Où je te dévoilais à toi, Une nouvelle sensation
Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…
Pas une tête ne dépasse Un doigt se lève Puis c’est la voix que l’on connaî… Un signal une note brève
Il ne faut plus courir à travers l… Enfant, ni sans congé vous hasarde… Vous êtes très petit, et vous avez… Que l’on vous aide encore à dire v… Que feriez-vous aux champs, si vou…
Contrerime XLIV. Vous qui retournez du Cathai Par les Messageries, Quand vous berçaient à leurs féeri… L’opium ou le thé,
Emporte moi jusqu’au noir Dont toute lumière s’échappe Jusqu’à tes pupilles funestes Nid de ma rancune Je m’endors sous l’ombre
Je n’aurais jamais voulu revoir to… Tes joues creuses et tes cheveux a… Je suis parti à travers champs Sous les bois humides Jour et nuit
Viens, ô ma Bouteille chérie, Viens enivrer tous mes chagrins. Douce compagne, heureuse amie, Verse dans ma coupe élargie L’oubli des dieux et des humains.
Une source descend de la roche bru… Les filles de Plomar viennent lav… Aux coups vifs des battoirs se mêl… Que fait le flot, et c’est une for… Comme devant l’autel sur la dalle…
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Nous n’irons plus au bois, les viv… Prud’homme déclarait immorale et c… Ma longue extase aux pieds d’une m… Dont la grâce tenait tous mes jour… Tu n’iras plus au Bois, sinon dan…