#ÉcrivainsFrançais
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…
Dans la poitrine, l’amour d’un dra… Si ta foi est morte que répondre à… Un ami meurt d’enthousiasme derriè… Et, dans les champs bordés de rout… Les ruines balancent leurs cadavre…
Autour de la table Au bord de l’ombre Aucun d’eux ne remue beaucoup Et quelqu’un parle tout à coup Il fait froid dehors
Où iront-ils chercher tout ce qu’i… Le ciel plisse son front Prépare une tempête Les autres sont là pour la fête Et les astres tendent des fils
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
La cloche vide Les oiseaux morts Dans la maison où tout s’endort Neuf heures La terre se tient immobile
Il serait bien monté sur le mur qu… Pourtant les chiens grognaient plu…
Un profil immortel sur le fronton A Bornéo ou au delà Les rivières sont gelées Les animaux courent sur la piste
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse
Apres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre. Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, seulement permis et promis, t...
Entre le dos du livre et les feuil… S’ouvre l’antre limpide Où bouillonne l’écume Quand les rochers serrent les dent… Sur la langue de sable