Quels secrets dans mon coeur brûle… Âme par le doux masque aspirant un… De quels vains aliments sa naïve c… Fait ce rayonnement d’une femme en… Souffles, songes, silence, invinci…
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
Quand chez les débauchés l’aube bl… Entre en société de l’Idéal ronge… Par l’opération d’un mystère venge… Dans la brute assoupie un ange se… Des Cieux Spirituels l’inaccessib…
Le Démon, dans ma chambre haute Ce matin est venu me voir, Et, tâchant à me prendre en faute Me dit : « Je voudrais bien savoi… Parmi toutes les belles choses
Je n’ai pas oublié, voisine de la… Notre blanche maison, petite mais… Sa Pomone de plâtre et sa vieille… Dans un bosquet chétif cachant leu… Et le soleil, le soir, ruisselant…
Tandis que les crachats rouges de… Sifflent tout le jour par l’infini… Qu’écarlates ou verts, près du Ro… Croulent les bataillons en masse d… Tandis qu’une folie épouvantable b…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Ô beaux yeux bruns, ô regards déto… Ô chauds soupirs, ô larmes épandue… Ô noires nuits vainement attendues… Ô jours luisants vainement retourn… Ô tristes plaints, ô désirs obstin…
La Nature est un temple où de viv… Laissent parfois sortir de confuse… L’homme y passe à travers des forê… Qui l’observent avec des regards f… Comme de longs échos qui de loin s…
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! La boule de neige
RÉCITATIF Je cherche en vain le repos qui me… Mon cœur et plein des douleurs de… Jusqu’en ces lieux déserts, dans l… De la patrie en deuil le malheur m…
Sonnet. Sous ces arbres chéris, où j’allai… Pour cueillir, en passant, seul, u… Sous ces arbres charmants où votre… Disputait au printemps tous les pa…
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Ils marchent devant moi, ces Yeux… Qu’un Ange très savant a sans dou… Ils marchent, ces divins frères qu… Secouant dans mes yeux leurs feux… Me sauvant de tout piège et de tou…
Penché contre un grand fleuve, inf… M’arrachent à regret aux riants en… Âme aux pesantes mains, pleines de… Il faut que le ciel cède au glas d… Le coeur dur, l’oeil distrait des…
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise
Dans une boite de paille tressée Le père choisit une petite boule d… Et il la jette Dans la cuvette Devant ses enfants intrigués
Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plu… Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on souffre est u… Confucius l’a dit ; suivons tous s…
Bonjour, c’est le scorpion poète… Le visage taillé .. buriné par le… J avais travaillé sur des nombreux… Et sur plusieurs contrées . Le corps nu était meurtri par les…
Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu’il aime il dit non au professeur il est debout
Comme l’autre Ophélie, Dont la douce folie S’endort en murmurant Dans le torrent, Pâle, déchevelée
Ô toi, le plus savant et le plus b… Dieu trahi par le sort et privé de… Ô Satan, prends pitié de ma longue… Ô Prince de l’exil, à qui l’on a f… Et qui, vaincu, toujours te redres…
Les yeux comme des trous Et les mamelons hérissés Par les mains du vent La mer salive Et abandonne ses cimetières
Vous n’avez réclamé ni gloire ni l… Ni l’orgue ni la prière aux agonis… Onze ans déjà que cela passe vite… Vous vous étiez servis simplement… La mort n’éblouit pas les yeux des…
Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Marcher au soleil Avec le vent qui s’éveille Qui danse Et dont la sueur émerveille Le corps de la mer.
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
Lorsque, par un décret des puissan… Le Poète apparaît en ce monde enn… Sa mère épouvantée et pleine de bl… Crispe ses poings vers Dieu, qui… —« Ah ! que n’ai-je mis bas tout u…
Je te donne ces vers afin que si m… Aborde heureusement aux époques lo… Et fait rêver un soir les cervelle… Vaisseau favorisé par un grand aqu… Ta mémoire, pareille aux fables in…
Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu’en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charma… Quand il miaule, on l’entend à pei… Tant son timbre est tendre et disc…
Novis te cantabo chordis, O novelletum quod ludis In solitudine cordis. Esto sertis implicata, Ô femina delicata
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
Entre tant de beautés que partout… Je contemple bien, amis, que le dé… Mais on voit scintiller en Lola d… Le charme inattendu d’un bijou ros…
C’est les feuilles du Jeudi . Des mots .. qui font froid dans le… Qui feront quelques vagues . La manœuvre .. qui avait donnée d… C’est l article de l histoire ..…
Travaillez, prenez de la peine : C’est le fonds qui manque le moins… Un riche laboureur, sentant sa mor… Fit venir ses enfants, leur parla… « Gardez-vous, leur dit-il, de ven…
Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Ô toison, moutonnant jusque sur l’… Ô boucles ! Ô parfum chargé de non… Extase ! Pour peupler ce soir l’a… Des souvenirs dormant dans cette c… Je la veux agiter dans l’air comme…
Bonjour, j écris ces quelques mot… Pour vous dire .. que je suis deb… Je viens de la gastine tourangelle… J avais connu le gland puissant . C’est le parfum des fleurs du prin…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
C’est la Mort qui console, hélas… C’est le but de la vie, et c’est l… Qui, comme un élixir, nous monte e… Et nous donne le coeur de marcher… À travers la tempête, et la neige,…
J’ai rêvé parfois que vos yeux Me regardaient avec tristesse, Que vos grands yeux bleus sérieux Me regardaient avec tendresse ; J’ai rêvé que vous écoutiez
Nous avons pensé des choses pures Côte à côte, le long des chemins, Nous nous sommes tenus par les mai… Sans dire... parmi les fleurs obsc… Nous marchions comme des fiancés
Tu mettrais l’univers entier dans… Femme impure ! L’ennui rend ton â… Pour exercer tes dents à ce jeu si… Il te faut chaque jour un coeur au… Tes yeux, illuminés ainsi que des…
II est de forts parfums pour qui… Est poreuse. On dirait qu’ils pén… En ouvrant un coffret venu de l’O… Dont la serrure grince et rechigne… Ou dans une maison déserte quelque…
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
Aujourd’hui l’homme blanc Ne s’étonne plus de rien Et quand il jette à l’enfant noir Au gentil cireur de Broadway
Nous aurons des lits pleins d’odeu… Des divans profonds comme des tomb… Et d’étranges fleurs sur des étagè… Ecloses pour nous sous des cieux p… Usant à l’envi leurs chaleurs dern…
Des oiseaux par milliers volent ve… Le gardien ne peut supporter des c… Tant pis je m’en fous ! Et il éteint tout Au loin un cargo fait naufrage un…
Tes yeux sont si profonds qu’en me… J’ai vu tous les soleils y venir s… S’y jeter à mourir tous les désesp… Tes yeux sont si profonds que j’y… À l’ombre des oiseaux c’est l’océa…
“ Si vous voulez que j’aime encore… Rendez-moi l’âge des amours ; Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s’il se peut, l’aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin
Dans les planches d’anatomie Qui traînent sur ces quais poudreu… Où maint livre cadavéreux Dort comme une antique momie, Dessins auxquels la gravité
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Ô saisons ô châteaux, Quelle âme est sans défauts ? Ô saisons, ô châteaux, J’ai fait la magique étude Du Bonheur, que nul n’élude.
C’est le carnet de bord .. lundi… Tu vois .. j écris quelques ligne… Une vie de chantiers et d écriture… Des gestes de tout les jours . Préparer le café chaud et le jus…
Pourquoi le prononcer ce nom de la… Dans son brillant exil mon coeur e… Il résonne de loin dans mon âme at… Comme les pas connus ou la voix d’… Montagnes que voilait le brouillar…
Azur ! c’est moi... Je viens des… Entendre l’onde se rompre aux degr… Et je revois les galères dans les… Ressuciter de l’ombre au fil des r… Mes solitaires mains appellent les…
Vous pouvez mépriser les yeux les… Beaux yeux de mon enfant, par où f… Je ne sais quoi de bon, de doux co… Beaux yeux, versez sur moi vos cha… Grands yeux de mon enfant, arcanes…