Non loin des rochers de l’Atlas, Au milieu des déserts où cent trib… Promènent au hasard leurs chameaux… Un jour, certain enfant précipitai… C’était le jeune fils de quelque m…
Mon prochain voyage m’égare, Ne mène à rien. Je ne serai jamais enchanté, De ce départ accablé. La fortune joue des mauvais tours,
Voici le cabinet charmant Où les Grâces font leur toilette. Dans cette amoureuse retraite J’éprouve un doux saisissement. Tout m’y rappelle ma maîtresse,
L’haleine jusqu’ici des Zéphyrs i… Sur l’Océan du monde a gonflé not… Et notre frêle esquif à l’abri des… Pour arriver au port suivit la mêm… Pour toi le ciel est pur oubliant…
Cette voix silencieuse, à un charme inquiétant, elle erre en moi tel un revenant, c’est insensé, je ne sais comment j’ai perdu mon…
A quoi bon chantonner, viens crier… A quoi bon chuchoter, viens causer… Je ne suis pas timide, juste bien… Je vais pas t’endormir, juste cont… Regarde toutes ces ficelles, tires…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
L’océan d’argent couvre tout Avec sa marée incrustante. Nous avons rêvé jusqu’au bout Le legs d’un oncle ou d’une tante. Rien ne vient. Notre cerveau bout
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Tableau I. C’est l’âge qui touche à l’enfance… C’est Justine, c’est la candeur. Déjà l’amour parle à son cœur : Crédule comme l’innocence,
Au milieu d’un jardin Parmi autant de couleur Mon attention est captivée Par une seule fleur Une fleur délicate
Fable I, Livre III. Toi qui, peintre et rival de Flor… Comme elle à la nature empruntes l… Dont se parent toutes les fleurs Que sous tes doigts on voit éclore…
C est un article de Georget . C est la rubrique du journal du lu… C est la soucoupe volante .. qui… Dans les marais .. la mère en col… Méditerranée .. combien des radea…
Un monde corrompu Dans sa bonté infinie, encore et t… Dieu observe l’homme, l’objet de s… L’homme qu’il a créé dont il reçoi… Sur un terre malmenée où il sème l…
Corps. Berceau de mon âme, Là où se loge ce feu ardent Qui me pousse au courage Corps.
Je voyage Je m’ennuie ici, j’ai décidé de vo… Je prends mes valises et mon short… Me voilà dans l’avion pour l’Aust… Que les kangourous sautent haut !
Que je te plains, petite plante ! Disait un jour le lierre au thym : Toujours ramper, c’est ton destin… Ta tige chétive et tremblante Sort à peine de terre, et la mienn…
Avant j’écrivais tout le temps Je n’aime pas partager mes sentime… Mais, dans un poème c’est plus att… Bizarre ? je m’assume, je suis trè… Le fait que j’ai connu l’amour tou…
La jalousie Par delà les bons sentiments heure… Existe certains qui laissent malhe… Par ces mauvaises pensées qui chag… De douloureuses larmes que les yeu…
Le printemps, est la Dans la foret de, ronce Prendre, un chocolat.
J’écris ton nom À la surface D’un lac glacé Est-ce que mon cœur Fondra pour un autre
Enclavé dans les rails, engraissé… Leur petit potager plaît à mes rêv… Le père est aiguilleur à la gare d… Il fait honnêtement et sans rébell… Son dur métier. Sa femme, hélas !…
Au revoir, Comme il est étrange de saluer son… De changer sans comprendre pourquo… On pense enfin réussir à voir. Comme il est étrange de tomber si…
Viens au soleil, mon doux ami : co… Efface de tes yeux la lune acariât… Il fallait que la foudre incendiât… Et que le vent soufflât sur l’atre… Les clos d’Alésia ne sont-ils plu…
Je me demande souvent si leur création ne résiderait pas dans ma gorge. C’est en tout cas à cet endroit-là que je sais qu’elles sont nées. Lieu de rencontre et d’ultimatums, c’est là-ba...
Emmène-moi sur ces collines Bercées par une brise essoufflée Où le soleil en vagues fines Lèche les flancs d’un voile éthéré… Sur le chemin nous croiserons
Lorsque je vais m’asseoir à mon ba… Qu’il est tard, qu’il fait doux, q… Mon petit chien me garde avec soll… Tous les songes aimés dont mon cœu… Reviennent à la fois peupler ma so…
Fable XIII, Livre III. L’autre hiver, des badauds attroup… S’extasiaient devant une statue : C’était la reine de Paphos, Chef-d’œuvre qu’un artiste échappé…
Ainsi, déjà lassées De mon toit familier, Ô mes douces pensées, Vous quittez, insensées. L’asile hospitalier ?
Dans le repli d’une anse fraîche Où tremble le moelleux reflet D’un clair ciel rose et violet, Sommeille le bateau de pêche. Sur l’eau qui s’est agatisée,