Par quelle démence je t’aime Je ne sais pas Par quelle inclinaison funèbre J’ai le goût de la souffrance Et par quelle divine blessure
Il s’est barré Plus rien n’est sorti De ses lèvres amères Il s’est rayé de la carte Et partout où je suis passée
Un poème par jour c’est Cinq-cents poèmes c’est Quarante mille mots Pour dire mon amour Pour invoquer ton retour
Des mille amants que j’ai eus Et des mille amants que je n’ai pa… Tu es le seul qui m’a inspiré mill… Et alors qu’aucun de mes sens ne t… Et que tu ne m’as offert que ton a…
Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…
Je remplirai des bouquins de toi Toute page vide que je trouverai Je t’y dessinerai d’un trait aiman… Tu pourras un jour les feuilleter Et y trouver ton véritable portrai…
Je te cherche ce matin comme tant… Dans l’aube et dans la clarté de l… Je te cherche au fond des bouteill… Et dans le mouvement des corbeaux Dans le vide derrière les choses j…
Le monde est tapissé de blanc ce matin et la ville est silencieuse. Le printemps est mis sous cloche et mes rêves se taisent. Comme toi. Chaque silence a sa mélodie et le tien est comme...
Ses mots me transpercent Je ne sais pas dire pourquoi Il n’y a rien de triste au fond Il n’y a jamais rien de triste Mes larmes je ne sais pas
Miroir ou mirage Je ne sais pas qui tu es J’ai écrit mille poèmes Dans le vide dans le vent Miroir ou mirage
Heure bleue et une flaque désolée… J’ai remboursé toutes mes dettes Et je reste cette mendiante pour u… Exilée sur le quai de Buxtehude Heure bleue et le printemps tarde…
