As-tu déjà perdu le mot de passe ? Le château se ferme et devient pri… La belle aux créneaux chante sa ch… Et le prisonnier gémit dans l’in p… Retrouveras-tu le chemin, la plain…
Bénis soient tes crayons, ô toi, j… Qui de nos Rosalba suivant déjà l… À mes yeux consolés retraces Avec tant d’élégance et de fidélit… Celle qui m’adoucit ma triste céci…
Oh ! me coucher tranquillement Pendant des heures infinies ! Et j’étais pourtant ton amant Lors des abandons que tu nies. Tu mens trop ! Toute femme ment.
Le feuillage lascif et chaud brûle… Des oiseaux dont le chœur éclate d… Le rossignol redit cent fois : les… L’oiseau qui ne sait pas de chanso… L’amour fait palpiter sous leurs r…
Tout au fond de mon cœur J’entends cette mélodie Qui brûle avec ardeur Mes émois, mes envies Est-ce de l’amour que je ressens ?
Inscriptions cunéiformes, Vous conteniez la vérité ; On se promenait sous des ormes, En riant aux parfums d’été ; Sardanapale avait d’énormes
Multipliant ses aptitudes On peut en faire des talents ; On creuse, on étend ses études ; On forme, on réforme ses plans ; Mais nul babil, nulle souplesse
Sonnet. Fors l’amour, tout dans l’art semb… Le génie auprès d’elle est toujour… Orphée allait chantant, suivi d’un… Dont il croyait leurrer l’inexorab…
Sonnet. Je ne suis pas de ceux pour qui le… Au coin du feu, l’hiver, ont de gr… Car j’ai pour tous voisins d’intré… Rêvant de chiens dressés, de meute…
À Mademoiselle Louise Crombach… Vous le saurez ! La vie a des abî… Cachés au loin sous d’innombrables… Les rossignols qui chantent à leur… Où chantent-ils dans la saison des…
Parfois l’esprit se perd dans la f… Inquiet, il hésite, il tâtonne, il… Dans le lierre qui tord ses nœuds… Il appelle, et sa voix retombe des… Il frissonne au contact rugueux de…
Je n’ai de souvenir que ces grande… Les plaines de mon enfance aux hor… Où la prière hésite et s’égare sur… Là où toute merveille n’est que pa… Je n’ai connu de lieu élevé à son…
Sais tu ce qui me fascine a coup sur ton sourire qui me rani… au surplus, est-ce trop de demande… Je le cherchais depuis toujours réveillant par tes tendres touches
Ah ! si jamais on aima sur la terr… Si d’un mortel on vit les dieux ja… C’est dans le temps où, crédule et… J’étais heureux, et l’étais avec v… Ce doux lien n’avait point de modè…
Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré
Mes colonnes sont alignées Au portique du feuilleton ; Elles supportent résignées Du journal le pesant fronton. Jusqu’à lundi je suis mon maître.
Vieux lierre, frais gazon, herbe,… Église où l’esprit voit le Dieu qu… Mouches qui murmurez d’ineffables… À l’oreille du pâtre assoupi dans… Vents, flots, hymne orageux, choeu…
Un monde corrompu Dans sa bonté infinie, encore et t… Dieu observe l’homme, l’objet de s… L’homme qu’il a créé dont il reçoi… Sur un terre malmenée où il sème l…
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
Oh ! pourquoi partir sans adieux ? Pourquoi m’ôter ton doux visage, Tes lèvres chères et tes yeux Où je n’ai pas lu ce présage ? Pourquoi sans un mot de regret ?
Chantre aimable, sur plus d’un ton… Sous vos habiles doigts votre lyre… Virgile, Homère, et le Tasse, et… De leurs lauriers détachent un fes… Pour composer votre couronne.
La nuit avait semé ses nuages limp… Tout autour de la lune, astre rêve… Qui, du ciel bleu foncé sur l’onde… Semblait faire pleuvoir l’argent e… La voile, au long du mât, pendait…
Corps. Berceau de mon âme, Là où se loge ce feu ardent Qui me pousse au courage Corps.
Sonnet. En ces heures souvent que le plais… Causant d’un livre à lire et des r… Ou me parlant déjà de mes prochain… Suspendue à mon cou, tu me dis :…
C est le chapitre d Avril . C est un article sur le journal C… La force ouvrière et gauche popula… Doivent gouverner le pays sans la… Tu vois .. il faut triompher du c…
La vie ne veut rien de toi elle ve… Et elle a de quoi Toi reste ici arrête de bouger Tu la sens passer à travers Ce n’est pas si compliqué
Mes allées ensommeillées Ahmed Khettaoui /Algérie **A la mémoire de : Arthur Rimbau… **** Quand on me dit, en vain :
Ensemble de vestige, ensemble une… Chaque cycle est une musique, une… L’unité est caché, dans la fratern… La solidarité, n’est pas très haut… Un peu désordonné, mais pas trop d…
Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…
<… L’homme de l’art lui dit : – Fort… Le traitement est fait : vous êtes… Comme quoi vous avez l’organe bien… Et lui comprit trop bien, n’ayant…