Mes allées ensommeillées Ahmed Khettaoui /Algérie **A la mémoire de : Arthur Rimbau… **** Quand on me dit, en vain :
Ta bouche était la coupe ardente o… Tes yeux étaient mon ciel, bleu co… Ivre, j’avais laissé l’espérance c… Passer avec l’amour sur la route o… Étant un amoureux, est-ce que je s…
un deuil C’était une journée sans nuages, La joie rayonnait sur mon visage, L’âme tranquille et bienheureuse, J’avais trouvé cette paix précieus…
Sonnet. Ainsi, mon cher ami, vous allez do… Adieu ; laissez les sots blâmer vo… Quel que soit le chemin, quel que… Le seul guide en ce monde est la m…
Quand les trois déités à la charma… Aux pieds du blond Pâris mirent l… Pallas dit à l’enfant : Si ton cœ… Je te réserverai de terribles expl… Junon leva la tête, et lui dit :…
Le grand Lion est mort. Il reste… Les fouines, les chiens, les rats… Ces bêtes ne sont pas absolument i… Elles savent manger nos plus sales… Et peuvent nettoyer nos plus puant…
« Insensée, à ces cœurs fardés d’h… Qui profanent l’amour, que l’amour… Tu demandais en vain Cette source du ciel où l’on se dé… Ils avaient mélangé les fanges de…
J’aurais bien voulu vivre en doux… Vivre d’un radis et de l’eau qui c… Mais l’art est si long et le temps… Je rêve, poignards, poisons, dynam… Avoir un chalet en bois de sapin !
Une brise inconnue a passé sur la… La lyre lui répond par un lugubre… Et de vagues terreurs tout bas sem… C’est un souffle de mort ! Je vois sur l’Hélicon un long crê…
Je ne sais que faire, tes charmes… Me soumettent, chaque fois j’en pe… Tant mon âme devant tes yeux verts… Face à tes cheveux d’or je ne suis… Malgré cela je veux être plus près…
Le printemps enfin finies les longues périodes… Le soleil endormi gagne en vitalit… Le blizzard hautain semble laisser… L’hiver s’efface et voit le printe…
C’est un article de Tators . Sous les étoiles .. pendant la nu… C’est Cerbère .. le grand lion… Qui secoué la crinière sous un ar… Jean Leblanc .. l aigle, qui ava…
Jeunes femmes, parfois, quand je v… A vos jeux... si je sens mon âme s… Si soudain sur mon front une ride… Si ma pensée empreint sa trace dou… Sur mes traits, que l’on voit se c…
Soleil, tu disparais sous l’aile d… Et mon triste regard vainement te… Demain ces monts d’azur te reverro… Mais Julia demain ne verra pas l’… De mes jours languissants, que la…
Cache mon mistral, de cette grande… La peur est si petite, face à ce g… Que je ne saurai nier, ni laisser… Il me porte au sommet, de ce que j… Me fait tant dévaler, de pente si…
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
Les mains ouvertes sur la poitrine… Il y a, derrière, une route qui mo… La pierre des marches s’incline au… La tache qui est au milieu n’est p… —c’est peut-être un trou.
Entre quinze et vingt ans, le cœur… De sa torpeur première et qui comm… S’enflamme quelquefois tout de bon… Dans un profond secret, d’un amour… Honteux de laisser voir cette arde…
Je suis un ange. Mes défauts, je les cache Et les vertus, je les adapte Dans le temple de mon apparence. Je suis un archange.
Il est, non loin des tièdes syrtes Où bleuit la mer en repos, Un bois d’orangers et de myrtes Dont n’approchent point les troupe… Là, sous l’ombre antique d’un arbr…
De tout coeur, amis, merci ! Il faut que je dise une chose, ami… Et pour cela, grandement je vous r… Par mes années antérieures passées… Celle-ci m’a permis de retrouver,
Je fu en fleur ou temps passé d’en… Et puis après devins fruit en jeun… Lors m’abaty de l’arbre de plaisan… Vert et non meur (1), Folie ma ma… Et pour cela Raison, qui tout red…
Je voulais lire le petit prince Car pour ton sourire j’en pince Attention je ne parle pas d’amour Mais d’une douceur comme le velour… Une politesse, un corps magnifique
Racine, plains ma destinée. C’est demain la triste journée, Où le prophète Desmarets, Armé de cette même foudre Qui mit le Port-Royal en poudre,
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
Quand la faux va crier dans les fo… Fuyez, poètes ennuyés ; Libres de tout souci, prenez le vo… Fuyez l’autre Babel, fuyez ! Allez vous retremper dans quelque…
Je nous voyais comme Clyde et sa… Mais on ressemblait plus à Tom et… C’est frustrant car je n’ai jamais… T’es passé d’une inconnue à T. ma… La preuve tout ce temps je ne t’ai…
Avant j’écrivais tout le temps Je n’aime pas partager mes sentime… Mais, dans un poème c’est plus att… Bizarre ? je m’assume, je suis trè… Le fait que j’ai connu l’amour tou…
C est un article de Georget . C est la rubrique du journal du lu… C est la soucoupe volante .. qui… Dans les marais .. la mère en col… Méditerranée .. combien des radea…
Ce torrent, qui bondit, et jette Son écume de neige et d’or, Etait l’emblème du poète, Quand sa muse prenait l’essor. A ces bords sa gloire s’allie ;