Mon cœur est un manoir croulant et… Un vieux manoir perdu de l’antique… Entre qui veut ! Le vent, la brum… Par ses corridors vont rôdant. Ils sont chez eux dans ce vieux cœ…
La douceur de tes yeux, apaise mon… La brume de tes mains, éclaircit m… Maudit soit ta splendeur, qui m’éc… Devenons tous mesquin, gardons not… Il bat que vers ma fleur, gardienn…
Pren ceste rose aimable comme toy, Qui sers de rose aux roses les plu… Qui sers de fleur aux fleurs les p… Qui sers de Muse aux Muses et à m… Pren ceste rose, et ensemble reçoy
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
À Édouard Dubus. Je suis l’expulsé des vieilles pag… Ayant un peu ri pendant le Mystèr… Les anciens ont dit : Il fallait… Quand nous récitions, solennels, n…
Il faisait un jour blanc & tout ch… Les oiseaux accablés se taisaient… Les herbes se tordaient au baiser… Dans les champs moissonnés les pai… Abritaient des cigales,
Dis-moi, ma simple et ma tranquill… Dis, combien l’absence, même d’un… Attriste et attise l’amour, Et le réveille, en ses brûlures en… Je m’en vais au-devant de ceux
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
La solitude, la douleur émotionnel… et dort avec nous toute la nuit, Des larmes qui ne sont pas visible… des cris silencieux que personne n… sentiment de détresse incessante,
Dans l’ébullition de mon âge indom… J’allais droit à mon but, sûr que… Ni du temps, ni du lieu, ni des êt… Me faisait à ma guise homme ou mar… Commandait mon élan, seule guidait…
Avant de partir pour la cérémonie… Avant d’engloutir cet espace prése… Au dessus des vagues tordues sous… Saluons le soleil Les murs sont au courant
(Pour M. de La Ceppède, premier… Des Comptes de Provence, au sujet… Spirituels sur la vie et la passio… 1612. J’estime La Ceppède, et l’honore,…
La verte Normandie a sur ses prom… De grands bœufs accroupis sur leur… Des bœufs au manteau blanc semé de… Des bœux aux flancs dorés, marqués… Aux heures de la trêve et du somme…
À Armand Silvestre. Le sourire est en fleur sur les lè… Dans la saison d’avril et des robe… Salut, ô rubans clairs, guimpes et… Bonnets aériens !... toute la pano…
xx… Après le bain, la chambrière Vous coiffe. Le peignoir ruché Tombe un peu. Vous écoutez, fière… Les madrigaux de la psyché.
D’un doute périlleux ton cœur est… Je le vois, et, si Dieu ne te prê… Je crains qu’à l’ennemi ta faibles… Des deux sentiers ouverts lequel c… Ton corps formé pour plaire est pa…
(Qu… Ce feu, quels torts a-t-il donc fa… À votre Laure, qui se fâche ? Plein de respect pour ses attraits… Il n’en veut qu’à ce qui les cache…
Unis dès leurs jeunes ans D’une amitié fraternelle, Un lapin, une sarcelle, Vivaient heureux et contents. Le terrier du lapin était sur la l…
Le troupeau maigre épars aux roche… Broute le noir genièvre et la ment… Au large la mer luit comme un méta… Soudain le bouc lascif se dresse e… Sur la chèvre efflanquée à l’échin…
Sous cette toile jaune, et rouge d… Un éléphant prend vie, à faire ce… Les rires du tour de salle, imiten… Les clowns qui s’en plafonnent, de… Font rêver les enfants, de rires i…
Ame meurtrie, âme peinée, je pleure ma douleur. Douleur de n’avoir su te convaincre, Douleur de pas pouvoir t’emmener sur les chemins de l’autonomie et de l’accomplissement de toi. T’ép...
Tableau IX. Justine est seule et gémissante, Et mes yeux avec intérêt La suivent dans ce lieu secret Où sa chute fut si touchante.
Le premier qui vit un Chameau S’enfuit à cet objet nouveau ; Le second approcha ; le troisième… Un licou pour le Dromadaire. L’accoutumance ainsi nous rend tou…
La mélodie nous lâche, dans le dés… A nous de faire face, au plus gran… Celui qui nous oblige, à devenir c… Qui saute chaque périple, à l’inst… Je n’ai pas aperçu, celui qui s’év…
En gardant ses douze cochons Ainsi que leur mère qui grogne, Et du groin laboure, cogne, Derrière ses fils folichons, La sœurette, bonne d’enfant,
Sonnet. Cette nuit, tu prendras soin que d… Frissonne, humide encore, une gerb… Nul flambeau dans la chambre—où te… Se noieront comme un rêve en des v…
Grand ami Trop longtemps je n’ai eu personne… Le moindre ami à qui je pourrait m… J’étais seul dans ma vie, mais Di… Je priais avec persévérance pour c…
À Édouard Leconte. Au coucher du soleil, toute la for… Dans le recueillement : touffes de… Petits genévriers, maigres buisson… N’ont pas dans la lumière une feui…
J’ai balayé tout le pays En une fière cavalcade ; Partout les gens se sont soumis, Ils viennent me chanter l’aubade. Ce cérémonial est fade ;
La poésie, c est la passion . J écris des mots passants à la mai… Des articles sur l actualités . Sur les faits divers .. déroulés… Un conflit pour une histoire d eau…