Fable XVII, Livre IV. Une ourse avait mis bas ; ourses d… D’accourir pour voir le poupon. « Est-ce une fille ? Est-ce un ga… Est-il bien gros ? Est-il bien sa…
Dans ce bar dont la porte Sans cesse bat au vent Une affiche écarlate Vante un autre savon Dansez dansez ma chère
Sous l’épais sycomore, ô vierge, o… Dans le jardin fleuri, tiède et si… Pour goûter la saveur de tes lèvre… Un papillon d’azur vers toi descen… C’est l’heure où le soleil blanchi…
France, jadis on te souloit (1) no… En tous pays, le trésor de nobless… Car un chacun pouvait en toi trouv… Bonté, honneur, loyauté, gentilles… Clergie, sens, courtoisie, prouess…
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
La foudre– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha…
Mon petit grand-père, Comment ça va ? Ma petite grand-mère, Es-ce-que tu es là ? Je n’ai pas grand-chose
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction
L’art de la connexion Un voyage Sans distance Entre l’amour Et le monde
(Sur la mort de Mgr. le duc d’Orl… 1611. Consolez-vous, madame ; apaisez vo… La France, à qui vos yeux tiennen… Ne dormira jamais d’un paisible so…
Est-il bien vrai qu’au séjour des… De si brillantes fleurs sous vos m… L’esprit fait les climats, l’espri… Dans nos jardins vous répandez des… Brillant comme l’été, doux comme l…
Quoi ! Vous à pareille heure ici,… Étrangère, et pour moi cependant d… Vous, si jeune et si frêle, êtes a… Admirer l’ouragan dans toute sa no… Quoi ! Pour l’étudier, cette mer…
Ma fille !... Je t’appelle, hélas… Loin du climat qui te vit naître, Comme une tendre fleur, tu n’as fa… Je viens graver ici des regrets su… Ici sont renfermés, sous cette fro…
Accourez vite à nos splendides fêt… Ici banquets, là concert, ailleurs… Les diamants rayonnent sur les têt… Le vin rougit les coupes de crista… Ce luxe altier qui partout se déro…
Notre nom n’a plus rien à énoncer ni une rivière invisible compagne
Fable VI, Livre IV. Or çà, mes amis, essayons De vous redire en vers tout ce que… Disait naguère en prose, en voyant… Porter jusqu’à six pas la lumière…
Je connais plus d’un sot qui loue Comme le trésor le plus beau, L’amour que le bon peuple voue A ceux qui suivent son drapeau. Du peuple que me fait l’estime ?
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
Oui, mon vers croit pouvoir, sans… Prendre à la prose un peu de son a… André, c’est vrai, je ris quelquef… Voici pourquoi, tout jeune encor,… Dans le livre effrayant des forêts…
STANCES. Composées en Bourgogne. 1609. Complices de ma servitude, Pensers, où mon inquiétude
Quand le plaisir brille en tes yeu… Pleins de douceur et d’espérance, Quand le charme de l’existence Embellit tes traits gracieux,— Bien souvent alors je soupire
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Bénis soient tes crayons, ô toi, j… Qui de nos Rosalba suivant déjà l… À mes yeux consolés retraces Avec tant d’élégance et de fidélit… Celle qui m’adoucit ma triste céci…
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Fait conjointement avec la duch… de Bellegarde et le marquis de Ra… 1606. Qu’autres que vous soient désirées… Qu’autres que vous soient adorées,
Si le doge est son père, ou si c’e… C’est ce dont, pour ma part, je m’… Dès qu’elle a pris naissance, il n… Que ce soit à Venise, ou dans Nap… Elle est belle, voilà l’intéressan…
Si nous n’entendons qu’à la loi, A la loi dure, à la loi stricte, Nous exerçons une vindicte ; Mais qui peut, s’il regarde en soi… Vouloir, sans reculer d’effroi,
au matin rouleur de la première fo… épave de la dernière aurore nos dents feront le bond d’une ter… cannelle et de girofles tu ouvriras tes paupières qui sont…
Contrerime XXXIV. Ce fut par un soir de l’automne A sa dernière fleur Que l’on nous prit pour Mgr L’Evêque de Bayonne,
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
Cher d’Aigremont, d’où te vient,… Ce mal effréné, dont la rage Au grand galop suit ton rapide ess… Et pour qui, t’éloignant de ton do… Tu te mets en pèlerinage
Ah ! que le monde est difficile ! Hélas ! il n’est pas fait pour moi… Ma sœur, en ton obscur asile, J’étais plus heureuse avec toi. On m’appelle ici l’étrangère ;
Il y a que les doigts s’étaient cr… Ils tenaient lieu de mémoire. Il a lallu desceller les tristes f… Pour jeter l’arbre et la mer.
C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;
Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifi… Tout enrichy de marbre et de porph… Qu’Amour bastit chasteau de son e… Où tout le Ciel a mis son artific… Est un rempart, un fort contre le…
Sonnet. Pour vous, enfants, le monde est u… De leur nid vos vertus, colombes i… Regardent en tremblant les printan… Et cherchent le secret d’y vivre e…
Deux heures après diner Il est temps de se reposer Ni mouvement aucun bruit Deux heures après midi Un chien prudent vient inspecter
Le Lièvre et la Tortue Rien ne sert de courir ; il faut p… Le Lièvre et la Tortue en sont un… Gageons, dit celle-ci, que vous n’… Sitôt que moi ce but. – Sitôt ? E…
Viens, ô ma Bouteille chérie, Viens enivrer tous mes chagrins. Douce compagne, heureuse amie, Verse dans ma coupe élargie L’oubli des dieux et des humains.
Nous renaissons, ma chère Éléonore… Car c’est mourir que de cesser d’a… Puisse le nœud qui vient de se for… Avec le temps se resserrer encore… Devions-nous croire à ce bruit imp…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Il est aux bords déserts du canal… Une lisière étroite aux pentes du… Un rivage sans nom, d’aspect morne… Dont les vaisseaux en mer n’osent… Comme un rideau tendu la montagne…
Le premier jour je me suis dis J’ai vu dans son regard Le début d’une belle histoire Maintenant je te regards et je sou… Car j’ai vu dans tes beaux yeux
Fable XIV, Livre II. Dame Arachné dans un palais Se glissa sans être aperçue ; Sa toile n’était pas tissue Qu’en l’air étaient tous les balai…
C est l article du jeudi . Sur la gazette de Kalinda . Tangarar .. le prince du Dahomey… C est la côte de la mer .. qui es… Le portugais Souza est venu amene…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Fable I, Livre I. L’olive, aux champs, n’est pas ce… Le premier qui, sur l’arbre, essay… Fit une mine épouvantable ; Au feu voulut faire jeter
Verts bosquets, paisible asile, Où tout sourit à mon cœur ; D’innocence et de candeur Séjour aimable et tranquille ; En vain je veux retracer
Quand la jeunesse fuit loin d’un m… Il faut aimer pourtant, car aimer… En oubliant qu’elle fut belle, Femme a vraiment besoin, j’en sais… D’un regard qui cherche le sien,
C est le chapitre de Martinius . C est un article sur le journal C… C est du verre latin pour une douc… C est le verger de Maursil et le… La dame en rouge .. c était la ba…
Sonnet LXXV. Gordes, que Du Bellay aime plus q… Vois comme la nature, ainsi que du… Nous a faits différents de mœurs e… Et ce qui plaît à l’un, à l’autre…
Comme on voit sur la branche au mo… En sa belle jeunesse, en sa premie… Rendre le ciel jaloux de sa vive c… Quand l’Aube de ses pleurs au poi… La grace dans sa feuille, et l’amo…
Stances. Quoi donc, ma lâcheté sera si crim… Et les voeux que j’ai faits pourro… Que je quitte Madame, et démente… Dont je lui promettais une amour é…
C’est la plume d Arrow . C’est le chapitre .. c’est le réc… C’est la rubrique du journal Cosm… C’est le degré et le poids des mot… C’est le pèlerin .. qui avait tra…
STANCES. 1599. Ainsi quand Mausole fut mort, Artémise accusa le sort, De pleurs se noya le visage,
Stances au Roi Henri Le Grand. 1610. À la fin tant d’amants, dont les â… Languissent nuit et jour, Verront sur leur auteur leurs pein…
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
Contrerime LII. C’était, dans les vapeurs du nard, Un cri, des jeux infâmes, Et ces yeux fatals qu’ont les femm… Du cruel Fragonard.
Les rêves échoués desséchés font a… rivières de formidables tas d’ossements mue… les espoirs trop rapides rampent s… en serpents apprivoisés
Ni tout noirs, ni tout verts, coul… D’espérances jamais en fleur, Les ifs balancent des colombes, Et cela réjouit les tombes. Elles éclatent, dans les ifs,