#ÉcrivainsFrançais
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Je sors, Il y a des milliers de pierres dan… J’entends De toute part le bruit de la nuit… Est-il vrai, mes amis,
Longues, longues journées. Le sang inapaise heurte le sang. Le nageur est aveugle. 11 descend par étages pourpres dan… Quand la nuque se tend
Le jour se penche sur le fleuve du… Il cherche à ressaisir Les armes tôt perdues, Les joyaux de la mon enfaniine pro… Il n’ose pas savoir
J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…
Ainsi marcherons-nous sur les ruin… immense, Le site au loin s’accomplira Comme un destin dans la vive lumiè… Le pays le plus beau longtemps che…
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
Close la bouche et lavé le visage, Purifié le corps, enseveli Ce destin éclairant dans la terre… Et le mariage le plus bas s’est ac… Tue cette voix qui criait à ma fac…
Chemins, parmi La matière des arbres. Dieux, parmi Les touffes de ce chant inlassable… Et tout ton sang voûté sous une ma…
Et venais-tu pour la nuque ployée Là-haut, dans cette chambre, non,… D’orage, et cette main dans la tie… D’espoir, de joie, puis relever le… Vers la cime parfaite des montagne…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Dans ce rêve le fleuve encore : c’… Une eau serrée, violente, où des t… S’entrechoquent, dévient ; de tout… Des rivages stériles m’environnent… De grands oiseaux m’assaillent, av…
On dit qu’un dieu chercha Sur les eaux closes Comme un rapace veut Sa proie lointaine Et d’un cri répété,
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau