Sonnet. Je sens la bonne odeur des vaches… Bétail, moissons, vraiment la rich… Dans la plaine sans fin, sans fin,… La pie a des tracés noirs sur le c…
D’où me vient le poids qui m’oppre… Au sentier s’attache mon pas ; Fuyez, fantômes de jeunesse, Dans mon cœur ne vous levez pas ! Hélas ! l’aurore qui s’éveille
Une page, une plume, le poète n’a pas de saisons, pas de nations, notre chance, notre différence.
Sonnet. Gisant à plat dans la pierraille, Veuve à jamais du pied humain, L’échelle, aux tons de parchemin, Pourrit au bas de la muraille.
La jalousie Par delà les bons sentiments heure… Existe certains qui laissent malhe… Par ces mauvaises pensées qui chag… De douloureuses larmes que les yeu…
Comment pourrez vous suivre dans c… dans cette atmosphère volatile écorché sous ce soleil punitif en découvrant la mort d’un natural… J’ai bien attrapé cette chose cas…
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Au revoir, amis... Ha ! Que j’ai aimé cette année ! Je ne vous oublierai jamais ! Que de moment agréables avons-nous… Des instant dont j’avais tant prof…
Les corps humides s’amassent sur l… Les larmes souillent le sol de la… Dans laquelle ils ne reviendront s… Les lamentations ennuient les étoi… La musique soudainement se charge…
C est la poésie d agonie . La plume du vingt trois .. Janvi… L homme s est attaqué à un peuple… Le type seras jugé devant l Allia… Pour crimes de guerre et de l hum…
C’est l’heure où la fatigue au som… Où la brise fraîchit avec l’ombre… Je m’en vais seul et triste en reg… Hélas ! de tout le jour je n’ai pa… Je regarde le ciel pour découvrir…
C est la chronique de Monday . C est la rubrique sur le journal… L immigration .. des gens venus d… Qui viennent sur le sol français… C est des photos et des propos ple…
Adieu, mon joli cœur de rêve ! Souvenez-vous du Val-André Et de l’heure exquise et trop brèv… Où le soir mourait sur la grève Comme un andante de Fauré.
Là-Haut Aujourd’hui la neige tombe lenteme… Je me retrouve seul, il est parti… Là-Haut en ta présence durant l’é… Cet ami en qui j’ai apprécié l’ami…
En pays pleins de cerfs, un cerf t… Incontinent maint camarade Accourt à son grabat le voir, le s… Le consoler du moins : multitude i… « Eh ! messieurs, laissez-moi mour…
J’ai rencontré avec sa lumière bla… Je ne respire plus... Un adieu in… Et maintenant, dites-moi si cette sera perpétuel... Allez, mensonge… Dites-moi qu’il me reste encore du…
Je fus son chaos, elle fut ma paix… Une tornade dans sa vie, flottait, Lorsqu’un soleil dans la mienne, r… Et sa peau lattée, qui me disait : “ arrête de te sentir flatté ”,
Fable XVI, Livre III. Sans la pièce de bœuf il n’est poi… Combien, en fait de bœuf, n’a-t-on… En plus de cent façons je crois qu… L’un veut qu’en miroton le bœuf so…
Quand je mourrai, que ce soit chez… Que ce soit à l’automne, un soir c… Où vos feux d’écobue étoilent la c… Et font d’elle un immense et mysti… Leur fumée un moment hésite sur la…
Une cuillère vole, sous l’ciel de… Une fourchette enveloppe, le pain… Ce couteau là absorbe, ton entière… Un verre qui déborde, de perles à… Une assiette décor, c’que tu as co…
Cette âme tourmentée Quelle est donc cette noirceur qui… Quelle est donc cette affliction q… Comment pourrais-je débarrasser mo… Alors qu’en moi un sentiment seman…
Avant j’écrivais tout le temps Je n’aime pas partager mes sentime… Mais, dans un poème c’est plus att… Bizarre ? je m’assume, je suis trè… Le fait que j’ai connu l’amour tou…
Sur les rives de mon chagrin, Tu t’es échouée. Brisée, ton corps secoué et Tes pleurs répétés. Sur les rives de mon chagrin,
Au milieu d’un jardin Parmi autant de couleur Mon attention est captivée Par une seule fleur Une fleur délicate
Quand je vous dis, Dieu vous béni… Je n’entends pas le créateur, Dont la main féconde et propice Vous donna tout pour mon bonheur ; Encor moins le dieu d’hyménée,
« Insensée, à ces cœurs fardés d’h… Qui profanent l’amour, que l’amour… Tu demandais en vain Cette source du ciel où l’on se dé… Ils avaient mélangé les fanges de…
C’est un article de Friday . C est dans les mémoires et de l hi… C est les mots bleus sur quelques… Le poète était allongé sur le lit… Son copain avait la bite en érecti…
C est l article content heureux . Le plaisir de regarder l homme nu… Le sexe toujours en érection . J adore branler la bite sans poils… Le désir de caressé les testicules…
Un Envoyé du Grand Seigneur Préférait, dit l’Histoire, un jou… Les forces de son maître à celles… Un Allemand se mit à dire : Notre prince a des dépendants
Sonnet VI. Hardy j’entreprendray de te rendre… Targuant de mes escrips ton nom co… Mais en t’éternisant, je ne travai… Ta perfection n’est en aucun poinc…