Assis sur le versant des coteaux m… D’où l’œil domine l’Oise et s’éte… Avant le soir, après la chaleur tr… À cette heure d’été déjà plus tièd… Au doux chant, mais déjà moins nom…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
<… L’homme de l’art lui dit : – Fort… Le traitement est fait : vous êtes… Comme quoi vous avez l’organe bien… Et lui comprit trop bien, n’ayant…
Si les liens des coeurs ne sont pa… Oh ! dites, vous devez avoir eu de… Je n’ai fait que rêver de vous tou… Et nous nous aimions tant ! vous m… Tout s’éteint, tout s’en va ; ta s…
Ô ciel natal ! toi que j’admire en… Lorsque l’hiver se couche aux pied… Sommets glacés, où rayonne l’auror… Sublime autel des vœux que nous fo… Votre beauté s’assombrit sous la n…
Avec le masque du mensonge La parole suit son chemin, Rampe aujourd’hui, vole demain, Se raccourcit ou bien s’allonge. Elle empoigne comme une main
Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…
Lorsque la coquette Espérance Nous pousse le coude en passant, Puis à tire-d’aile s’élance, Et se retourne en souriant ; Où va l’homme ? Où son coeur l’ap…
La voilà, dites-vous ? Quoi ! c’e… Dont j’admirai naguère, au sein de… Dans leur pure fraîcheur les attra… Se peut-il que déjà cette fleur so… Et qu’en passant DIX fois, l’ann…
Terre, que fallut-il quand l’Euro… Ne pouvait retenir la France débo… Et grosse de fléaux ; Quand les trônes des rois chancela… Quand nos champs se vidaient, quan…
Parfois l’esprit se perd dans la f… Inquiet, il hésite, il tâtonne, il… Dans le lierre qui tord ses nœuds… Il appelle, et sa voix retombe des… Il frissonne au contact rugueux de…
Viens dans les ombres du hallier, Viens avec moi, riante et douce ; Écoute l’écho singulier De ce grand chêne aux pieds de mou… Si je lui chante ici ton nom,
Auguste, mon très bon, qui toujour… Pour les yeux en amande, Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucou… Et que je me demande Pourquoi décidément ce monde où no…
À D.-U.-N. Maillart. Dans un cher souvenir de vos jeune… Ne regrettez-vous pas ces hautes c… Où l’âtre, réjoui par un grand feu… Réchauffait, en flambant, nos mais…
À Gustave Godard. Le soleil du matin tombe en bruine… À travers les rideaux de blanche m… C’est comme un fin brouillard de l… Éclairant l’oreiller d’une blonde…
Ah ! comme tout est lourd, comme t… Comme ton cœur d’enfant prodigue b… Devant ces murs où tu laissas ta v… La vigne vierge rouge étreint les… Le seuil humide et froid est obscu…
Le ciel est calme et pur, la terre… Elle offre avec orgueil au soleil… L’essaim tourbillonnant de ses enf… Dans les parvis sacrés, la foule s… Ô vous.... qui vous aimez et qui r…
Sonnet. Ne ris point des sonnets, ô critiq… Par amour autrefois en fit le gran… C’est sur ce luth heureux que Pét… Et que le Tasse aux fers soulage…
À Léo Hector Claretie. Tu dois venir de loin, pauvre peti… Mince, pâle, amaigri, traînant ta… —Je viens de Ploërmel (la route e… Et ma dernière étape est au Havre…
Ce n’est pas qu’elle fût bien bell… Mais nous avions tous deux vingt a… Et ce jour-là, – je me rappelle, – Était un matin de printemps. Ce n’est pas qu’elle eût l’air bie…
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
Des singes dans un bois jouaient à… Certaine guenon moricaude, Assise gravement, tenait sur ses g… La tête de celui qui, courbant son… Sur sa main recevait les coups.
À madame Hector Calot. À mi-juin, quand les fruits rougis… Pour le bec des oiseaux quand la c… Le beau loriot chante—on reconnaît… Comme un ruisseau jaseur qui rit d…
Petite zingarelle à voix d’or, tu… Et nous ouvrons l’oreille à tes en… Ton accent pur va droit à la sourc… Et réveille en nos cœurs de longs… Sous tes grands cheveux noirs, min…
Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…
Ma maîtresse est toute angelette, Toute belle fleur nouvelette, Toute mon gracieux accueil, Toute ma petite brunette, Toute ma douce mignonnette,
Si quelque jeune fée à l’aile de s… Sous une sombre et fraîche arcade, Blanche comme un reflet de la perl… Surgissait à mes yeux, au doux bru… De l’écume de la cascade,
Moi, que je sois royaliste ! C’est à peu près comme si Le ciel devait rester triste Quand l’aube a dit : Me voici ! Un roi, c’est un homme équestre,
Cette plaine sans un chemin Figure au fond de la vallée La solitude immaculée Vierge de tout passage humain. Presque nue, elle a du mystère,
Dans ce cabriolet de place j’exami… L’homme qui me conduit, qui n’est… Hideux, à barbe épaisse, à longs c… Vice et vin et sommeil chargent se… Comment l’homme peut-il ainsi tomb…